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What I have in me, in my mind is you. ღ katarina

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MessageSujet: What I have in me, in my mind is you. ღ katarina   What I have in me, in my mind is you.  ღ katarina EmptyDim 23 Déc 2012 - 10:18




sweet little words,
made for silence.


Une bonne journée en perspective. Et pourtant, la seule chose démotivante c’est le fait de travailler ce soir, jusqu’à par d’heures en plus. J’espère que Katarina ne rentrera pas trop tard non plus. Oui, depuis qu’elle est enceinte je suis sans arrêt derrière ses fesses, si cela se trouve elle doit franchement en avoir marre de moi, que je sois sans arrêt collé à ses fesses pour m’assurer que tout aille bien, dans le meilleur des mondes. Je ne veux pas qu’elle se fatigue trop non plus. Non, je ne m’inquiète pas trop pour le bébé même si j’avoue que si elle le perd, ça me détruira quelque part, mais tout ce que je veux c’est son bien-être avant tout et j’ai toujours été là. Ce soir, j’ai de la chance, personne ne m’a encore appelé pour abattre une personne quelconque, espérons que ce soir j’aurais la paix même si d’un sens, ça ne m’arrange pas car je n’aurais pas d’argent. Qu’importe, j’essayerai de faire mon maximum dans les jours qui suivent, quitte à chercher les ‘clients’ moi-même ce n’est pas un souci, mais ce qui m’arrangerait c’est que Katarina ne le sache pas et ne le découvre jamais.

Je sais que je n’aurais plus le droit à l’erreur avec elle, et si elle apprend que je tue des gens sans réel regret, je suis quasiment sûr qu’elle me fuirait. Pourtant, elle est la seule femme au monde que j’aime plus que n’importe qui, à qui je ne ferais jamais de mal, sur qui je n’oserais jamais lever la main. Mais après, être convaincant c’est plus facile à dire qu’à faire. Je ne veux gâcher le bonheur de personne, ni le sien, ni le mien. C’est pourquoi, en général je cache toutes mes armes dans l’Impala, au moins je suis sur qu’elle n’irait pas fouiller dans la voiture surtout qu’étant maniaque, elle n’a pas le droit ni de la conduire –tout du moins c’est rare- ni de faire son petit ménage. Ma caisse, c’est comme mon bébé, on n’y touche pas. Je ne suis pas gaga des autres voitures, ça je m’en tape mais voilà mon Impala, c’est sacré…et étant même un ancien garagiste, c’est moi qui fait les réparations dessus, personne n’a le droit d’y toucher à part moi.

Cela fait maintenant environ deux heures et demi que je me trouve derrière le bar, à essuyer les verres, à servir et même à parler avec des gens légèrement dépressif. Mon taff, ce n’est pas de faire joli, de me contenter de sourire comme un crétin et de faire la boniche non. Etre barman c’est, pour moi, avant tout d’être à l’écoute des autres, ou même de communiquer avec les gens. Sauf que là, je me fais plutôt draguer par une jolie blonde avec une poitrine plus que généreuse qu’elle met sûrement en valeur exprès en se penchant légèrement. Certes, étant un homme et un ancien grand coureur de jupons je ne peux m’empêcher de plonger mes yeux dans le décolleté de la jeune femme mais évidemment, je ne m’y attarde pas trop longtemps. Je lui sers son verre puis elle me demande mon numéro.

« Pour le numéro, tu vois sa avec la jolie rousse là-bas. Pas sûr qu’elle veuille te le donner. »

Lui dis-je avec mon fort accent russe, ajoutant un petit clin d’œil. J’aime tellement frustrer les demoiselles, c’est ‘mignon’ à voir, mais tellement hilarant. Je m’avance ensuite vers Katarina, elle a une petite mine, ça ne me plait pas. Je m’avance vers elle et m’adresse à elle en russe.

« Ca va pas ? Rentre si t’es pas bien… »




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MessageSujet: Re: What I have in me, in my mind is you. ღ katarina   What I have in me, in my mind is you.  ღ katarina EmptyDim 23 Déc 2012 - 13:11




sweet little words,
made for silence.


Une journée comme n'importe laquelle démarre pour moi. Après une longue nuit de travail, je profite de la matinée pour me reposer un peu histoire de reprendre des forces sauf que je n'ai pas pour habitude de me reposer sur mes lauriers ou de me reposer tout court. Malgré le repos que m'a prescrit le médecin, je n'en tiens pas compte et n'en fait qu'à ma tête, comme d'habitude. Je suis enceinte mais pas invalide puis tant que je m'en sens la force d'ouvrer, je ne vois franchement pas pourquoi j'arrêterais. J'ai pas été appris ainsi. Le boulot c'est la santé ! Je me lève assez tôt après quelques heures de sommeil en prenant soin de ne pas réveiller Lyov qui dort à mes côtés et démarrent mon petit train train matinal qui consiste à faire un peu de sport, me préparer, grignoter un morceau et faire le ménage. J'adore que tout soit propre et bien ordonné et dès l'instant ou c'est fait tout les jours, ça prend pas autant de temps qu'on peut se l'imaginer puis quand on sait qu'une personne est maniaque, on fait attention à ne pas empiéter sur son terrain et à tout garder un maximum propre. Mon tempérament de feu jouent pas mal en ma faveur. Un seul pas de travers et c'est comme si pour rien, la troisième guerre mondiale était déclarée. Fin prête, j'entame le reste de la journée à ma façon. Après avoir préparé le déjeuner de Lyov, je m'en vais pour aller faire les boutiques. J'ai repéré deux ou trois petites choses sympa pour notre futur enfant. Je ne connais pas encore le sexe mais certaines couleurs sont mixte, comme le blanc puis ce n'est pas comme si j'achetais des robes après tout. Je fais le tour des magasins afin de repérer quelques affaires et ensuite pouvoir traîner mon amoureux avec moi pour qu'il me donnent son avis. La journée passent tellement vite que je dois me booster afin de ne pas louper le début de mon service. Lyov et moi travaillons dans la même boîte de nuit en tant que barman tout les deux. Si j'ai choisi le métier de barmaid, c'est tout simplement parce que je vis plus la nuit que le jour.

Voilà un peu plus de deux heures que j'ai pris mon service et je me sens lessivée. Pourtant, je fais mine de rien et je continue de travailler. Tout en papotant avec quelques habitués, je fais mon boulot, concoctant quelques cocktails à ma façon et servant les autres personnes avec le sourire et la bonne humeur comme à mon habitude. Je repère rapidement une jeune femme blonde qui fait du rentre dedans à Lyov qui se trouve à l'autre bout du comptoir. Le plus flagrant, c'est son regard qui plonge dans la naissance de ses seins. Je soupire et continue comme si de rien n'était. Lyov était autrefois un grand tombeur et quoi qu'il disent ou fassent, même s'il me respectent, il le restera à jamais. J'ai confiance en lui mais en revanche, je n'ai pas confiance à la jeune femme qui ferait mieux d'aller voir ailleurs ou enceinte ou pas, je lui fais ravaler son sourire mielleux. Quand elle tourne la tête vers moi, je lui lance un regard noir, regard que je ne peux pas toujours contrôler. Je ressers quelques consommations avant que Lyov ne s'approche de moi et ne s'adresse à moi en russe. J'esquisse un sourire radieux pour le rassurer même si au fond, il n'a pas tort, je suis vraiment pas au top de ma forme d'un coup. J'ai comme la nausée. Je lui répond, en russe également :

« Ça va puis si je rentre, qui va travailler à ma place ? On peut pas se permettre d'avoir une rentrée d'argent en moins Lyov. »

Je pense principalement à notre futur enfant et au fait qu'il faut effectuer pas mal de dépense dans ce genre de situation. J'ai peut-être la fièvre acheteuse en temps normal mais depuis que j'ai appris ma grossesse j'ai pas eu d'autres choix que de me calmer. Le coeur quasi au bord des lèvres, je continue de travailler.




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MessageSujet: Re: What I have in me, in my mind is you. ღ katarina   What I have in me, in my mind is you.  ღ katarina EmptyDim 23 Déc 2012 - 19:30




sweet little words,
made for silence.


Cela m’embête un peu que Katarina ne fasse pas attention un peu plus à elle. Oh, pas que j’ai l’impression qu’elle s’en fiche totalement mais disons que je ne peux pas m’empêcher de m’inquiéter et que, tout ça c’est encore nouveau pour moi. Je n’ai jamais été aussi amoureux, je suis probablement trop maladroit et puis j’ai envie de dire c’est, certes mon deuxième enfants mais j’ai appris que trop tard que j’avais eu une fille avec une de mes anciennes conquêtes qui ne me l’a jamais dit. Là, je le verrais grandir, je le verrais même naitre, ça sera totalement différent. La jeune blonde n’est pas aller de main morte vu comment elle me faisait du rentre dedans, en voilà une bien sure d’elle, j’ai beau avoir plongé mon regard dans son décolleté mais ce qu’elle ignore c’est que je m’en fiche pas mal d’elle et de son body siliconés. Vu son nez, vu ses lèvres et même sa poitrine, elle doit être toute refaite…de quoi en faire rêver plus d’un, mais moi personnellement, les siliconées ce n’est pas trop mon trip, moi j’aime quand c’est vrai, naturel quoi. Comme Katarina. Elle est jolie, elle n’a rien de refait bref, c’est la femme parfaite.

Je n’ai même pas fait attention si la jeune rousse était entrain de surveiller et puis qu’importe, je n’ai rien à lui caché, ou presque. Quand quelqu’un me drague, je lui dis ou même je ne lui cache rien. Une relation se base sur la confiance avant tout, si plus personne ne fait confiance à plus personne la relation ne tient pas et se casse la tronche. Pourtant, avec tout ce que j’ai pu faire par le passé, étant connu comme un gros infidèle, un gros coureur de jupons d’un côté je ne la comprends pas, qu’elle puisse me faire confiance ainsi même si ô grand jamais je n’en abuserais, de cette confiance. Je lui en suis même reconnaissant, qu’elle parvienne à me faire confiance comme ça même si en général c’est plutôt des autres qu’il faut se méfier. La jalousie n’est pas un réel défaut, je trouve sa quand même adorable et que c’est une preuve d’amour. Je suis un gros jaloux qui montre les crocs quand un seul homme s’approche de ma femme, quitte à lui éclater sa figure. Je suis un homme violent quand on s’en prend à ceux que j’aime, quand on s’approche trop à mon goût de celle que j’aime, c’est comme ça…je suis jaloux, et c’est maladif.

Je m’approche d’elle après avoir remballé gentiment la blonde, voyant bien sa petite mine qui fait tout de même peur à voir. Je préfère lui parler en russe, comme nous le faisons à chaque fois disons que c’est plus discret et que très peu comprenne de quoi on cause. Je n’aime pas les personnes curieuses et très peu de monde parlent le russe, c’est carrément bien. Je soupire un peu face à ce qu’elle dit. Elle n’est pas croyable, hein. Je l’observe me mordant la lèvre inférieure avant de déclarer :

« Moi. Tu as une sale mine, t’es toute blanche et franchement t’as des cernes et ce n’est pas très joli à voir. On peut se le permettre Katarina, c’est moi qui gère et je te promets que si tu rentres ce n’est pas grave, d’accord ? »

Je n’allais pas lui dire non plus qu’avec tous les meurtres que je commets, on peut se permettre même de se payer tout ce que l’on voudrait, on pourrait même habiter dans un endroit mieux que notre appartement où il n’y a que deux chambres assez petites mais pas tellement non plus. Je ne lui souris pas, pour une fois, je suis réellement sérieux. Cependant je la stoppe, lui agrippant le poignet mais pas au point de lui faire mal non plus.

« S’il te plait. Je te demande pas la lune non plus … »





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MessageSujet: Re: What I have in me, in my mind is you. ღ katarina   What I have in me, in my mind is you.  ღ katarina EmptyDim 23 Déc 2012 - 20:06




sweet little words,
made for silence.


Comme toute femme normalement constituée, j'ai un côté jaloux même très gros que je dissimule du mieux que je peux car même si ça peut s'avérer être une très belle qualité, c'est également un très vilain défaut. Si je n'avais pas confiance en Lyov, j'aurais déjà sauter de l'autre côté du comptoir comme une furie, or, même si la jeune femme est jolie et qu'il a plongé quelques instants son regard dans son décolleté, elle n'a rien à m'envier. J'ai une image de moi-même très positive car avant d'être la Katarina belle, mince, qui cherche sans cesse à atteindre un peu plus une perfection qui n'existe pas, j'étais horriblement laide, grosse et le pire c'est que je ressemblais à une calculatrice géante. Heureusement, tout ça a disparu quand j'ai décidé de me soigner et de me métamorphoser. Je ne sais même pas si j'ai eu le courage d'en parler à Lyov. Le connaissant, coureur de jupon d'autre fois, même s'il l'était encore aujourd'hui, je ne pense pas qu'il aurait ne serais-ce posé qu'un doigt sur cette blonde totalement refaites. C'est pas son style. Il aime le naturel et il a bien raison. Rien de tel qu'une femme vraie, nature plutôt qu'une bimbo remodelée. Je déteste toute marque de bistouri ou de transformation sur un être humain. Je ne conçois pas de me faire refaire quoi que se soit comme je ne conçois pas non plus de changer de couleur de cheveux, le roux étant naturel chez moi. Chacun fait, c'qui lui plait ...

Je discute avec les habitués tout en travaillant quand Lyov s'approche de moi et me fait gentiment remarquer que j'ai une petite mine et que je peux rentrer si je le veux. Le boulot c'est la santé ! Je ne le répéterais jamais assez puis si je ne travaille pas, je vais faire quoi ? Me reposer ? Hors de question, je suis capable de travailler. Hormis le fait que mon ventre s'arrondi de jour en jour, laissant apparaître une petite forme et que le petit être qui est en moi grandit un peu plus chaque jour, y a rien de bien différent en moi. Je suis toujours aussi active et dynamique même si je cache bien mon jeu car je suis de plus en plus fatiguée. Ce n'est pas un coup de fatigue ni une petite nausée qui va m'arrêter. La petite parenthèse sur mes soit disant cernes pas très jolie me fait arquer un sourcil. Lyov sait parfaitement que s'il s'attaque à mon physique, même de manière indirect, ça va me faire sortir de mes gonds. De plus, avec les hormones, j'ai plus de mal à me contrôler. Sans hausser le ton, je répond en russe, me rendant compte que même si je contrôle le ton de ma voix, j'ai du mal à contrôler ma jalousie :

« Ta raison, c'est pas très joli à voir quand on me compare à la petite blonde à l'autre bout du comptoir qui te faisait du rentre dedans. Ça va ? Tu t'es pas noyé dans son décolleté ? J'ai cru que j'allais devoir venir te repêcher ... »

Ma façon de me comporter est des plus idiotes et je m'en rend compte. Je lâche un soupir et ajoute, sur le même ton :

« Excuse-moi Lyov ... Mes hormones me travaillent et j'ai du mal à me contrôler même si c'est pas forcément une excuse. Ta raison, je suis fatiguée, j'ai la nausée et la tête qui tourne. Cela dit, je n'en suis pas non plus au point de m'évanouir, je peux terminer mon service. »

Je m'efforce de sourire en espérant qu'il ne m'en voudra pas et m'en vais oeuvrer à mes occupations quand il saisit doucement mon poignet entre ses mains pour m'arrêter dans mon élan. Je me tourne vers lui et soupire doucement.

« D'accord, je rentre. Tu me demandes pas la lune, c'est vrai. »



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MessageSujet: Re: What I have in me, in my mind is you. ღ katarina   What I have in me, in my mind is you.  ღ katarina EmptyDim 23 Déc 2012 - 22:03




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Malgré que j’ai toujours eu une gueule à adorer les femmes refaites de partout, avec des gros boobs avec lesquels tu peux casser n’importe quoi avec, je suis loin d’être comme ça. Je préfère tout ce qui est naturel, une femme naturellement belle et pas toutes refaites. Une femme made in China. Cela devient tellement commun, les femmes commencent à être toutes pareilles et j’ai eu la chance d’être tombé sur une femme pas comme elles. J’ai toujours été le mec populaire qui se tapait tout et n’importe quoi, j’ai toujours été celui qui se vantait d’être beau, celui qui rabaissait plus bas que terre ceux que je considérais comme minable, les loosers. Bien sûr, il m’arrivait de me prendre des raclées, des râteaux des filles qui n’aimaient pas l’idée de sortir avec l’homme le plus populaire et surtout le plus joueur du lycée. J’avais autant une bonne réputation qu’une mauvaise. Les professeurs étaient désespérés et ils me disaient qu’avec mes petits airs d’arrogant, de caïd je n’irais pas loin. D’un sens il avait raison car je n’ai pas non plus réussi ma vie en ayant un super travail qui rapporte beaucoup. Je tue contre de l’argent et je le cache à la femme de ma vie, j’ai violé une pauvre femme sous l’emprise de l’alcool…même si maintenant je me suis légèrement amélioré, voilà, les loosers réussissent dans la vie et deviennent les personnes les plus aimées, les plus populaires et les gens les plus aimés et les plus populaires deviennent des loosers.

Je n’ai pas trop apprécié la réaction de Katarina. Le travail n’est pas important, je sais gérer nos dépenses, notre argent et de plus avec tout ce qu’il rentre, l’argent n’est pas ce qui nous manque le plus mais sa, c’est secret. Je préfère qu’elle ne sache rien pour ne pas l’horrifier, la repousser…encore une fois. Je suis vraiment surpris de sa réaction, ne pouvant m’empêcher de me mordre la lèvre inférieure. Mon dieu, elle m’a vue…Elle a vraiment les yeux partout ma petite rousse et vraiment très observatrice, plus que je ne pouvais le croire. J’ouvre la bouche pour répliquer mais elle enchaine directement avec des excuses puis je ne peux m’empêcher de sourire faiblement.

« Oh, tu sais que je préfère le tien des décolletés, puis en plus c’est des faux seins. Puis je préfère les tiens, ils sont plus gros. En plus ils vont grossir un peu plus parce que tu es enceinte, c’est moi le plus heureux. »

Dis-je histoire de détendre quand même l’atmosphère puis elle repart à ses occupations. Je ne peux l’empêcher de la bloquer, l’attrapant gentiment par le poignet sans trop serrer fort non plus, mon but n’est pas de lui faire mal, loin de là.

« S’il te plait, Katarina. Je te demande juste de rentrer et de te reposer… tu es fatiguée, comme tu le dis et tu as la tête qui tourne. Je pense qu’il vaut mieux pour toi que tu rentres plutôt que tu continues. Fais-le pour moi. »

Je caresse lentement ses cheveux avant de l’emmener dans les vestiaires demandant à d’autres de nous remplacer puis je l’observe et caresse ses cheveux lentement. Je n’aime pas quand elle insiste, je n’aime pas quand elle ne m’écoute pas car je sais bien que ça va pas.

« Tu veux que je te raccompagne où ça ira.. ? »




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MessageSujet: Re: What I have in me, in my mind is you. ღ katarina   What I have in me, in my mind is you.  ღ katarina EmptyLun 24 Déc 2012 - 7:14




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Par chance, Lyov n'a jamais connu l'ancienne Katarina car il est clair, qu'il ne m'aurait jamais regardé de la même façon. Lyov aime ce qui est beau et avec mon ancien moi, il n'aurait pas été gâté. Des boutons, de la chair qui dégouline de partout, j'en ai moi-même honte. D'après ce qu'il m'a raconté, il était populaire au lycée et ça ne m'étonne pas car moi-même je l'étais également. Tellement que ça m'a entraîné dans des délires affreux. J'ai bu, je me suis droguée. J'ai commencé par la drogue douce et j'ai fini par la drogue dure. J'étais tellement démolie que le trois quart du temps, je ne savais plus ce que je faisais. J'ai fini par reprendre conscience et par essayer de m'en sortir. Pour fêter ma victoire concernant ma métamorphose, je me suis même inscrite aux élections de Miss Russie quand j'avais dix-huit ans et j'ai gagné. Ça a été un honneur pour moi de représenter mon merveilleux pays même si j'aurais bien aimé viser plus haut, comme le concours de Miss Monde mais chaque chose en son temps puis c'est pas parce que j'en ai gagné un que je gagnerais l'autre puis, j'ai rencontré Lyov et à partir de ce moment, ma vie a totalement changé. On était parfaitement heureux jusqu'à ce qu'il m'apprennent son secret et que je ne m'enfuie comme une voleuse. J'ai fini, quelques années plus tard par le pardonner parce qu'au fil du temps, je me suis rendue compte que sans lui, je n'étais rien. Lui et moi, c'est une histoire qui durera à l'infini, je le sais car des conquêtes, j'en ai eu mais un homme qui me fassent tomber sous son charme ainsi, jamais. Je suis tombée amoureuse de lui la première fois que je l'ai croisé et depuis, mes sentiments ne cessent d'évoluer. Il m'appartient et ça, pour la vie. Du coup, le fait de voir cette petite blonde le draguer ouvertement m'a un peu retourner l'esprit mais j'ai su garder mon calme, jusqu'à ce que ça sortent, sans que je le veuillent vraiment. Fichus hormones !

« J'espère bien que tu préfères les miens. Comme tu dis, ça va gonfler un peu plus de jour en jour. On ne verra bientôt plus que ça »

Je suis rassurée de constater qu'il n'a pas pris trop mal ma réaction. En même temps, je me suis excusée. J'assume mes torts quand il le faut. C'est l'une de mes plus belles qualités parait-il car elle est très rare chez quelqu'un. À quoi bon nier les faits alors qu'ils sont sous notre nez ?

« Je vais le faire pour toi ... Tu te rend compte que je suis à peine à quelques mois de grossesse et que pourtant j'ai l'impression d'être bientôt à terme à cause de la fatigue ? Si tu me fais rentrer à chaque fois que j'ai une faiblesse, je vais devenir une baleine. »

Et on va perdre de l'argent mais ça, j'évite de le préciser une nouvelle fois car il m'a dit qu'il gérait et j'ai pas forcément envie de froisser sa fierté d'homme virile qui sait s'occuper de sa famille. Lyov ne perd pas une minute pour nous faire remplacer et m'emmène gentiment dans les vestiaires. Me caressant doucement les cheveux, il me propose de me raccompagner. Esquissant un maigre sourire, je répond :

« Tu viens de nous faire remplacer, rentre avec moi, de toute façon, on est excusé et c'est la première fois que ça nous arrivent. Tant qu'à rentrer, autant rentrer avec moi et profiter de la soirée avec toi. »

Katarina et une belle façon d'esquiver ses maux. Je me sens pas très bien en effet mais ça s'arrange pas avec les minutes qui passent. Je préfère avoir Lyov à mes côtés au cas où ça n'irait pas en route puis il y a aussi une part de vérité dans mes propos, je voudrais bien l'avoir avec moi pour une fois vu que c'est plutôt rare étant donné qu'on a chacun notre planning.


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MessageSujet: Re: What I have in me, in my mind is you. ღ katarina   What I have in me, in my mind is you.  ღ katarina EmptyLun 24 Déc 2012 - 11:59




sweet little words,
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Je dois être le cliché parfait du mâle dominant. J’aime tout ce qui est beau, j’aime les jolies filles, j’aime celles qui prennent soin d’elles, j’aime quand elles ont du caractère mais pas trop quand même, quand elles se soumettent un peu je suis content. J’aime quand elles sont belles autant maquillées qu’au naturel. Enfin je ne lui demande pas non plus d’être toujours habiller au top, mais voilà, j’aime les jolies femmes et je ne suis pas le genre de personne qui sort avec la première qui me passe sous la main, je suis difficile niveau femme …mais j’ai trouvé la femme de ma vie malgré qu’elle m’a échappé une fois, elle est revenue pour mon plus grand bonheur. J’espère qu’elle ne s’échappera pas à nouveau, c’est pour cela que d’un côté je ne lui révèle pas vraiment ce que je fais, comment on peut vivre parfaitement sans être obligé de faire des heures supp’ mais à chaque fois je lui fais croire que j’en fais pour gagner un peu plus. D’un sens, c’est juste puis que je travaille plus mais je rapporte beaucoup plus en tuant quelqu’un qu’en passant ma journée en laissant les clients m’assommer avec leur problème personnel. Je secoue la tête face à la remarque qu’elle fait à propos de sa poitrine. Moi je m’en fiche réellement mais j’aime le fait qu’ils vont gonfler, je pourrais y plonger mon visage dedans et dormir comme un bébé ou même, il y aura plus à tâter et plus il y en a, plus je suis content…même si en temps normal elle n’est pas aussi plate qu’une planche à pain. Je lâche cependant un long soupire alors qu’elle se plaint. Ah, les femmes, on serait vraiment malheureux sans elles …

« Tu vas arrêter de râler ? Puis de toute façon tu vas devenir une jolie baleine. Ce n’est pas une crime d’être enceinte, je te rassure, tu n’es pas la première femme à l’être ni la dernière. »

Puis je trouve sa beau, les femmes enceintes. Oui, c’est beau, c’est tout mignon –si on enlève le côté impulsif et casse bonbon- mais honnêtement, je trouve sa hallucinant de voir à quel point une femme peut-être élastique et résister à tout ce chamboulement, si j’étais à sa place j’aurais l’impression de mourir, d’être au bord de l’agonie. Je demande à d’autres de nous remplacer le temps que l’on s’absente ou du moins moi, car je compte revenir. La laisser rentrer seule, c’est hors de question. Je me mords un peu la lèvre. Elle est maline, hein. Enfin je n’ai jamais dis qu’elle l’était mais, vraiment, elle réussie à me surprendre encore.

« Je n’aime pas te dire non. »

Et j’avoue que j’aimerais moi aussi profiter de cette soirée avec elle, au calme, tranquillement tout les deux chez nous, quitte à s’endormir comme des vieux aussi ce n’est pas réellement grave mais voilà, cela fait assez longtemps qu’elle et moi n’avions pas passer une soirée tranquillement tout les deux. Je file ensuite mettre ma veste et prendre mes affaires attendant qu’elle en fasse de même puis je quitte la boîte de nuit et me dirige vers l’Impala et rentre, attendant qu’elle en fasse de même et démarre, roulant jusqu’à notre chez nous. D’un sens, ça va me permettre de tuer cette nuit, quand elle dormira profondément, je m’en irais. Je me gare et sort avant de rentrer dans notre chez nous et me déshabille.

« Et tu vas directement au lit sinon …sinon je sais pas, tu verras bien ! »




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MessageSujet: Re: What I have in me, in my mind is you. ღ katarina   What I have in me, in my mind is you.  ღ katarina EmptyLun 24 Déc 2012 - 14:30




sweet little words,
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Tout les hommes aiment que leurs femmes soient belle et je m'efforce de toujours l'être aux yeux du mien car après tout, ça sera mal fichu, surtout pour un mâle de son espèce de ce trimbalé une femme qui n'a aucun intérêt pour sa propre personne. Quand je parle d'intérêt, je parle de laisser aller. Je me vois mal ne pas sortir coiffée, maquillée ou encore mal habillée. Le simple fait de voir une nana mal fagotée dans la rue, qui a les cheveux gras, le maquillage dégoulinant et mal fait me donne la nausée. Ce qui me donne davantage la nausée, c'est les odeurs. Les odeurs de transpiration m'horrifie plus que tout. Après tout, il existe assez de produit pour sentir bon. Une bonne douche, un peu de déodorant, une pointe de parfum et le tour est joué. J'ai une collection de parfum et de produits cosmétiques aussi impressionnante que ma garde robe. Le pire, ce sont les chaussures, j'en ai tellement que je ne pourrais surement jamais les porter pour certaine. Chaque tenue à sa propre paire et vu que j'en ai des centaines, j'en ai quasi le double niveau chaussures. J'adore ça. Lyov, quant à lui est pour moi l'image de l'homme parfait. Il est grand, musclé, beau, soigné, etc ... Pour moi, il n'y a rien à changer chez lui, même pas son caractère de mâle dominant. J'aime l'être au fond mais pas trop non plus. Je me vois pas menottée à un lit pendant que lui me fouette. Je sais juste respecter ses dires, ses choix et ses envies. Je souris à ce qu'il dit. J'ai râlé ? Je m'en suis même pas rendu compte.

« Je ne râle pas, j'exprime juste clairement les faits. Je vais avoir des vergetures et je risque de ne pas le supporter puis mon caractère, n'en parlons même pas. Je suis déjà pas un cadeau en temps normal mais là, avec les hormones et tout le tralala, ça va être encore pire. Tout ça, c'est ta faute Vychedkevitch ! »

M'approchant de Lyov, je passe mes bras autour de son cou et lui dépose un doux baiser sur les lèvres avant de murmurer :

« Mais grâce à toi, je suis la plus heureuse des femmes. J'ai l'homme le plus parfait qui puissent exister à mes côtés et en plus de cela, on va avoir un enfant. Je t'aime. »

Mon petit caractère de cochon celle place à celui d'un ange car au fond, c'est peut-être ce que je suis. Avec le temps, je me suis forgée une carapace que seul Lyov a réussi à percer. À lui, je ne lui cache rien, aux autres, c'est différent. Je veux pas qu'on sachent réellement qui je suis car j'ai peur de me faire avoir, du coup, je me dissimule derrière mes petits airs de garce, ou presque.

« Je sais mais ne crois pas que j'en profite. »

Je souris et le laisse s'éloigner de moi pour aller s'habiller. Je fais de même de mon côté, me couvrant bien et attrapant mon sac à main. Je me sens faible mais avec Lyov à mes côtés, je sais que je peux surmonter pas mal de chose. Peut-être pas les nausées des premiers mois de ma grossesse mais je me sentirais plus rassurer, moins au bord du gouffre avec lui avec moi. Nous quittons ensemble la boîte de nuit et montons à bord de sa voiture dont j'aurais surement jamais l'occasion de prendre le volant. En même temps, je suis un vrai danger donc vaut mieux pas qu'il cède à ce caprice-ci. Quoi que ... Une fois chez nous, j'accroche ma veste au porte manteau ainsi que mon sac à main et soupire à ce qu'il dit.

« J'ai pas envie d'aller me coucher. Ouais, sinon quoi ? Dis-moi donc, je suis curieuse de savoir. »

Un petit air amusé se dessine sur mon visage pâle et cerné. Je connais assez bien Lyov pour savoir qu'il ai incapable de me faire le moindre mal alors ses petites menaces ont plus tendance à me faire sourire qu'autre chose.


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MessageSujet: Re: What I have in me, in my mind is you. ღ katarina   What I have in me, in my mind is you.  ღ katarina EmptyMar 25 Déc 2012 - 11:19




sweet little words,
made for silence.


Je ne comprends pas comment certaines femmes peuvent être laides. En général les femmes sont faites pour tenter les hommes et les mener à pêcher, du moins c’est ce que les coincés du c*l en disent. Elles sont faites pour tenter, pour pousser l’homme à faire des choses contre les « règles de Dieu » et pourtant, certaines ne donnent vraiment pas envie. Elles sont grosses, les cheveux gras, elles sentent à des kilomètres, elles sont crades, elles sont fringuées comme des sacs poubelles …moi, je ne sais pas comment elles font, c’est tellement simple de prendre soin de soit et ça fait du bien de se sentir bien dans ses pompes. Katarina est, et restera la femme parfaite. Elle a du charme, elle a tout pour plaire, de jolies formes, elle prend soin d’elle et j’ai toujours plaisir à la prendre contre moi. C’est la femme parfaite que, certains je pense aimeraient me la voler mais qu’ils se foutent le doigt dans l’œil jusqu’au coude. Ils ne me connaissent pas, même si je tue sous l’ordre (je dirais le souhait plutôt) d’un client, là je n’hésiterais pas à tuer par jalousie, par impulsivité et par colère. C’est la mienne, à moi et à personne d’autre. Je sais qu’elle est jolie, elle le sait aussi et je sais qu’elle peut plaire à d’autres et que certains feront tout pour me la dérober…J’ai confiance en elle, mais je n’ai pas confiance aux autres. J’ouvre la bouche pour répliquer avant de secouer la tête. Elle n’est pas cro-ya-ble. Je ne peux cependant pas m’empêcher de rire, oh d’un sens elle marque un point. Ce n’est pas tous les jours faciles de la supporter mais moi je l’aime, avec son caractère assez difficile parce que je sais comment la calmer, je sais que si j’hausse un peu trop le ton certes elle me traitera de tous les noms d’oiseaux dans mon dos mais étant LE mâle dominant par excellence, en général elle préfère me donner le dernier mot.

« Désolé si je fais des enfants plus vite que mon ombre. Mais tu es bien contente, non ? Puis je me souviens, on l’a fait avec amour… »

Dis-je en souriant et me mord un peu la lèvre, lui rendant son baiser sur ses lèvres, frissonnant à ses douces paroles. Elle peut bien être une furie quelques secondes avant, là, elle est adorable et j’aime entendre ce genre de choses. J’ai beau être un homme légèrement macho avec un caractère de merde mais j’aime quand elle me dit sa, j’aime entendre ces mots…ces mots que j’ai si rarement entendu.

«Et toi, tu es la femme la plus parfaite. Moi aussi, je t’aime. »

Ah, que oui je l’aime. Je l’aime même certainement trop et je sais qu’un jour cet amour me tuera. Si jamais tout ce fini, quelque soit la raison je ne sais pas comment je ferais à nouveau sans elle. Je serais perdu oui, comme un explorateur sans sa boussole pour se repérer. Je n’ai jamais été autant amoureux de quelqu’un, et c’est bien la première fois que je suis fidèle à une femme –mis à part le viol mais, c’est une autre histoire…

Je me sens bien mieux chez moi, c’est toujours mieux chez soit. J’ai envie de glander à chaque fois que je franchis le pas de la porte. J’accroche ma veste à mon tour et retire mes pompes allant les ranger sachant que madame est maniaque comme pas deux, j’en ai déjà assez marre de me faire crier dessus parce que je laisse tout trainer. Pas ma faute, je suis tête en l’air et j’oublie à chaque fois de tout ranger. Je me mords la lèvre réfléchissant avant de m’approcher d’elle et de glisser mes mains sous ses fesses la soulevant et glissant ses jambes autour de mes hanches et dépose un baiser contre ses lèvres.

« Je te prive de toutes les bonnes choses que tu aimes manger ou faire. Qu’en dis-tu ? »

Dis-je en souriant amusé, c’est vrai que moi, si on me privait de tout sa j’irais me coucher tout de suite, sachant que je ne pourrais pas survivre non plus. Enfin survivre …je péterais un câble. Je me dirige vers la chambre avec elle avant de l’allonger sur le lit me plaçant au dessus d’elle et m’allonge sur elle n’y mettant pas tout mon poids non plus et dépose ma tête contre sa poitrine et ferme mes yeux.

« C’est tellement confortable… »




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MessageSujet: Re: What I have in me, in my mind is you. ღ katarina   What I have in me, in my mind is you.  ღ katarina EmptyMar 25 Déc 2012 - 22:13




sweet little words,
made for silence.


Moi non plus je ne comprend pas certaines femmes et certains hommes également car on n'est pas les seules à mettre dans le cas. Il est vrai que ce n'est pas difficile de prendre soin de soi, de se mettre en valeur ... C'est même assez facile. Quoi que ... Il faut avoir du goût, de la volonté et les moyens pour le faire. Même le pire des laiderons peut y arriver. La preuve, moi qui était aussi vilaine qu'un poux, bien que ça soit un secret pour pas mal de mes connaissances, j'ai réussi à m'arranger et à faire de moi une femme plutôt pas mal. Je pense pas avoir été élue Miss Russie pour mon caractère merdique. Si je l'ai été, c'est simplement parce que j'ai de quoi représenter dignement mon pays. J'ai tellement souffert des moqueries des autres que je ne peux pas faire ce que l'on m'a fait autrefois bien que ça ne soit pas l'envie qui manque pour me manger. J'ai une conscience et un coeur. J'ai pour coutume de crier haut et fort qu'on est ce que l'on est bien que je n'en pense pas moins concernant l'opposé. Si tout le monde était beau et parfait, la vie ne serait surement pas pareil car c'est connu qu'il faut de tout pour faire un monde. Des beaux, des moins beaux, des laids, des gentils, des méchants. Je prend un air offensé à ce qu'il dit et suis prête à répliquer mais me tais au bon moment car il a raison, cet enfant, nous l'avons conçu avec amour même si c'était pas dans nos projets. Nous nous aimons et souhaitions former une famille plus tard. Le plus tard a été plus rapide que prévu mais c'est la vie. Étant une vraie femme, je suis contre l'avortement. Maintenant ou après, ça reviens au même pour moi au final.

« Oui, on l'a conçu avec amour et même si c'était pas prévu, je suis vraiment heureuse. J'espère juste que je serais une maman hors norme. »

C'est de loin la crainte de n'importe quelle femme qui va donner naissance pour la première fois. Je me pose une foule de questions. Je sais que je n'aurais aucune difficulté à m'occuper de mon enfant ni à l'élever mais j'ai toujours peur de ne pas être à la hauteur de mes propres existences. Avec Fran', la fille de Lyov, tout se passe parfaitement bien mais ce n'est pas pareil car ce n'est pas ma fille bien que je la considère comme telle à force. Les mots qu'a Lyov à mon attention me vont droit au coeur. Personne à part lui ne m'a jamais dit ces petits mots qui font pourtant tellement de bien surtout lorsqu'ils sortent de la bouche de l'homme que l'on aime.

« Merci Lyov. »

Laissant un magnifique sourire illuminer mon visage, j'en oublie presque mon mal être. De toute façon, c'est plus ou moins passager, du moins, j'espère. Après, ça peut être psychique bien que j'en doute fortement. Je ne sais pas vraiment comment mon corps va réagir vu que c'est ma première grossesse mais j'ai hâte de découvrir les autres changements, hormis les changements hormonaux et les nausées.

Je sens les mains de Lyov glisser sous mes fesses et de la puissance de ses bras musclés, me soulever du sol. Je referme mes jambes autour de sa taille et lui rend son doux baiser, passant mes bras autour de son cou.

« J'en dis que si tu veux que je t'empoisonne et que je masque ça comme un suicide ou un accident, tes bien parti. »

Je laisse échapper un petit rire, le sachant incapable de me faire un coup pareil, du moins je l'espère et me sachant moi aussi incapable de lui faire le moindre mal. C'est ma petite façon à moi de faire ma loi et de lui faire comprendre qu'il ne vaut mieux pas pour lui qu'il réveille la louve qui sommeille en moi. Dans les bras de Lyov, je me laisse emmener vers notre chambre où il me dépose doucement sur notre lit avant de se mettre au dessus de moi, s'allongeant et posant sa tête contre ma poitrine. Je dépose l'une de mes mains dans le bas de son dos et l'autre dans ses cheveux que je caresse doucement.

« Je n'en doute pas ... »

Je pourrais rester des heures durant ainsi, avec mon amoureux dans mes bras. D'ailleurs, j'en profite de longues minutes avant de faire doucement glisser mon pied contre sa jambe. Je peux aussi mettre ça sur le compte des hormones car c'est en parti ça. Je suis du genre sage, ou presque mais quand j'ai des idées pas très catholique derrière la tête, y a certaines choses qui se font comprendre, comme ce genre de geste.




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MessageSujet: Re: What I have in me, in my mind is you. ღ katarina   What I have in me, in my mind is you.  ღ katarina EmptyMer 26 Déc 2012 - 9:35




sweet little words,
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Les hommes et les femmes pour ma part c’est différent. Les hommes sont toujours vus comme les hommes de la préhistoire, super viril et qu’importe s’ils ne se lavent pas, s’ils sont dégueulasses c’est preuve de virilité. Certains n’évoluent pas. Moi je trouve sa aberrant qu’on puisse avoir un tel cliché des hommes, et encore pire, le fait qu’ils soient bordéliques comme pas deux, qu’ils laissent trainer tout et n’importe quoi. Je suis bordélique oui, mais pas au point que ma maison soit un vrai Enfer. Les femmes sont vues comme de jolies petites choses qui prennent soin d’elles et même des hommes, qui rangent tout derrière eux. Les hommes et les femmes se complètent, c’est tout. D’un sens c’est vrai, mais pas totalement. Je me mords discrètement la lèvre. Bien sûr qu’elle sera une maman hors norme, bien sûr qu’elle sera LA maman que tout le monde voudrait avoir. Un enfant, sa change la vie, en général sa calme certains…d’autres pas. Je suis tout aussi heureux qu’elle, malgré que mes deux enfants n’aient pas été voulus, je les aime. Un enfant, c’est une part de soit, voulu ou pas c’est un cadeau que nous offre la vie. On a beau dire, si l’on perd un enfant « ce n’est pas grave, un enfant, sa se refait » mais je ne suis absolument pas du même avis. La perte d’un enfant est toujours aussi douloureuse que la perte d’un proche. Un enfant ne se refait pas. Même si je n’ai pas une tête à materner qui que ce soit, j’adore les enfants. J’aime le fait qu’ils soient insouciants, qu’ils ne connaissent pas les dangers que la vie nous offre chaque jour. Moi je n’ai jamais été comme ça, je n’ai jamais vécu dans mon petit monde, dès mon plus jeune âge j’ai du me démerder tout seul comme un grand, j’ai du assumer mes conneries et élever mon frère. Mais je ne le regrette pas, du temps que j’arrivais à conserver mon frère, à faire en sorte qu’il reste un enfant et qu’il ne suive pas le même chemin que moi, le reste m’importait peu.

Je ne me pose pas trop de questions, il ne faut pas trop se poser de questions dans ce genre de moments. Il faut prendre la vie comme elle vient, même s’il faut anticiper mais ayant déjà une fille, je me dis que ça ne sera pas différent malgré que je ne me sois jamais occupé d’un nouveau-né.

Je suis réellement heureux à ses côtés, je me sens réellement bien avec elle et…honnêtement, je ne me suis jamais senti aussi à ma place dans ce bas monde, je n’ai jamais été aussi heureux et je la remercie, de me redonner le sourire, de me montrer ce qu’est, aimer une personne plus que tout au monde. Je la laisse glisser ses jambes autour de mes hanches, laissant mes mains sous ses fesses et fait une moue faussement choqué.

« M’empoisonner ? T’es une vraie sorcière, je dois me méfier maintenant ... »

Même si je serais bien rapide à détecter qu’elle veuille m’empoisonner. Je me méfie de tout de toute façon, depuis que je suis devenu un ‘criminel’. Oh, je n’ai jamais dis que je me méfiais de Katarina mais de ce qui l’entoure, de ce qui nous entoure, sait-on jamais si quelqu’un m’en veut et veut me le faire payer, amèrement. Je sais, qu’un jour il va falloir que je lui dise, rapidement car avoir une telle vie, avoir un tel loisir met en danger mes proches, et sa je le sais pertinemment.

Je m’allonge sur elle, n’y mettant pas tout mon poids ne voulant pas l’écraser non plus puis je dépose ma tête sur sa poitrine, assez confortable d’ailleurs, je suis le plus heureux. Je lâche un long soupire d’aise, écoutant son cœur battre par la même occasion. J’aime ces petits moments comme ceux-ci, ils sont rares puisqu’en général, on est bien trop crevés pour se poser cinq minutes et s’enlacer. Je frissonne en sentant son pied glisser contre ma jambe. Quelle invitation, je n’aurais pas fait mieux. Je redresse ensuite ma tête et glisse mon visage lentement dans son cou, y déposant de doux baisers, remontant lentement à sa mâchoire mais redescendant bien vite, mordillant la peau de son cou, glissant lentement une de mes mains sous son t-shirt ne laissant que le bout de mes doigts parcourir pour l’instant seulement son ventre, j’ai envie de l’embêter un peu avant tout n’y allant pas droit au but. Je suis quasiment sur qu’elle n’aime pas que je la fasse languir, mais qu’importe, moi, ça m’amuse.

Sauf que, qu’une autre idée assez vilaine me passe par la tête. Je souris légèrement en coin, amusé et remonte mes mains au niveau de sa poitrine, me positionnant bien entre ses jambes collant mon bassin contre le sien, déposant mes lèvres contre les siennes n’exerçant que pour le moment de douces pressions contre ces dernières.




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MessageSujet: Re: What I have in me, in my mind is you. ღ katarina   What I have in me, in my mind is you.  ღ katarina EmptyMer 26 Déc 2012 - 19:31




sweet little words,
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Tout ce qui a pu être dit sur les hommes et les femmes, ce n'est que pure foutaise au fond car on a tous notre façon d'être. Il paraît que les hommes sont des gros machos qui ne pensent qu'à une seule chose, le pouvoir sur la femme tandis que la femme se soumet sans rouspéter. C'était l'ancien temps tout ça, nous, on vit autrement. Lyov est relativement macho mais a ses limites, du moins avec moi et moi, je suis loin d'être soumise, je suis juste réaliste. Je veux faire plaisir au maximum à mon homme mais lorsque ça me plait pas, même s'il a souvent le dernier mot et que je fais souvent en sorte que ça arrive, je n'hésite pas à lui dire clairement ma façon de parler. Entre nous, c'est une histoire de compréhension. Il sait comment je suis et moi, je sais parfaitement comment il est. Je vois à son air qu'il pense différemment de moi concernant le fait que j'ai peur de ne pas être une maman à la hauteur même si je ne l'ai pas exprimé de la sorte. Après tout, c'est la crainte de toute femme qui va le devenir pour la première fois. Je ne sais pas ce que c'est de changer une couche, d'allaiter un enfant ou encore de s'en occuper car j'ai jamais eu l'occasion de le faire. Je sais m'occuper de sa fille mais elle est grande. Je ne doute pas de moi, loin de là mais j'espère ne pas me tromper et faire tout ce qu'il faut, quand il le faut. Après tout, c'est dans le sang tout ça. Une femme est née pour reproduire l'espèce humaine et je ne pense pas faire exception à la règle.

« Ta raison, méfies-toi bébé, tu me connais peut-être pas aussi bien que tu ne le penses. »

Je laisse échapper un petit rire et lui vole un doux baiser avant de plonger mon regard dans le sien et d'ajouter :

« Je plaisante. »

Peut-être un peu tard, je réfléchis au fait que nous parlons toujours en russe alors qu'il n'y a personne autour de nous pour nous épier. Entre Lyov et moi, c'est instinctif. Le fait de parler russe nous enferme dans notre petite bulle car peu le comprennent. On peut parler de tout ce que l'on veut sans problème au moins de cette manière.

« On va perdre notre anglais à force de parler russe. »

Rien qu'à m'entendre prononcer ces mots dans une langue autre que la notre me fait un drôle d'effet car j'ai ce fort accent qui me différencie des autres. Je n'ai pas besoin de préciser ma nationalité souvent pour qu'on la devine ou presque car généralement, on me demande d'où vient ce lourd accent. Tout comme moi Lyov le possède. Allongée dans le lit, j'offre quelques signes de mon envie à mon amoureux qui les décrypte rapidement mais qui a visiblement envie de me faire languir, chose que je n'apprécie pas de trop en réalité. J'aime qu'il agissent lorsque c'est nécessaire et là, c'est le cas. Il préfère se la jouer baba cool, alors jouons ainsi après tout. Il redresse la tête et dépose quelques baisers dans mon cou avant de remonter jusqu'à ma mâchoire pour finalement redescendre dans mon cou. Le contact de ses lèvres dans mon cou et de ses doigts contre ma peau me fait frissonner comme jamais personne n'a réussi à le faire jusque maintenant. Ses mains finissent par prendre possession de ma poitrine, les enveloppant avec délicatesse tandis que mes cuisses s'écartent pour qu'il s'y glissent entre. Je me mordille doucement la lèvre inférieure lorsque son bassin se colle contre le mien et ses lèvres contre les miennes. Je prolonge avec une infime douceur son baiser, sentant étrangement le coup foireux arriver. Je décolle doucement mes lèvres des siennes et glissent doucement.

« Ce petit sourire amusé que tu avais sur les lèvres avant de m'embrasser, il rime à quoi ? Dis-moi ce que tu as derrière la tête ? Tu veux me menotter au lit ? Me faire languir plus qu'il n'en faut ? Me donner une petite fessée ? Crache le morceau ! »

J'aime pas être dans l'ombre de ce qu'il pense surtout lorsque ça touche nos petits jeux amoureux. Heureusement pour lui, je suis prête à beaucoup pour lui et même à faire des choses qui m'intéresserait pas en temps normal. En revanche, s'il me fait un coup foireux, je lui ferais payer jusque la fin de sa vie, il le sait. Je me mordille la lèvre inférieure, agrippant doucement sa lèvre inférieure et tirant dessus avec la même délicatesse avant de l'embrasser à nouveau.




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MessageSujet: Re: What I have in me, in my mind is you. ღ katarina   What I have in me, in my mind is you.  ღ katarina EmptyJeu 27 Déc 2012 - 13:55




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Mon dieu, cette femme me tuera vraiment un jour, j’en suis réellement persuadé. Enfin, cela ne m’étonnerait pas j’ai envie de dire. Je sais du moins je suis quasiment sûr que si je lui refais du mal, elle va m’en vouloir et pour de bon, elle voudra bien évidemment me tuer mais malheureusement elle ne sait pas combien je sais être plus rapide, anticipant même. Mais je n’en fis rien, je ne dis rien, je me contente simplement de me mordre discrètement la lèvre inférieure l’observant mais elle me dit qu’elle plaisante. Je hausse les épaules. Oh après tout, elle peut faire mine de plaisanter mais au fond, elle sait qu’à la moindre connerie que je ferais elle me démembre, elle me stocke dans le congèle et ensuite elle me mange. Je ne suis tout bonnement pas comestible.

Elle se met ensuite à me parler anglais. Oh non bon dieu, pourquoi ? Je sais très bien parler l’anglais et au grand pire, je n’aurais qu’à prendre des cours mais voilà le russe je ne peux pas m’en passer, c’est ma langue maternelle et je l’ai toujours parlé puis me mettre à parler en anglais à la maison va me destabiliser un peu beaucoup, mais bon cela ne m’empêchera pas de la laisser causer en anglais elle parce que moi, lui parler en anglais alors qu’on est à la maison c’est hors de question.

« Non …moi j’aime pas l’anglais, c’est pas beau puis mon accent est trop moche. Pourquoi tu veux me torturer ? »

Lui dis-je en lui pinçant gentiment la joue, vilaine fille. Elle sait pas ce que je fais aux vilaines filles hein, mais elle le saura tôt ou tard de toute manière. Pour la peine, je me venge en la faisant languir, en n’y allant pas franchement préférant la faire attendre. Je sais qu’elle n’aime pas sa mais moi, ça m’amuse. Cependant elle se détache de mes lèvres. Je réouvre mes yeux et l’observe, mon visage restant non loin du sien puis je fais comme si de rien était.

« Je n’ai plus le droit de sourire, maintenant ? Je n’ai pour une fois rien derrière la tête, je sais que je suis parfois pas cool avec toi mais vraiment, je ne vais rien te faire. Puis avoue, tu aimerais que je te menotte et que je te donne une petite fessée. Après on dit c’est moi… »

Dis-je pour la taquiner, ne pouvant m’empêcher de me mordre la lèvre. Je suis méchant, je l’admets mais voilà on a tous un côté sadique, une part de S/M en nous. Soit. Je frissonne quand elle agrippe ma lèvre inférieure tirant légèrement dessus mais la réembrasse bien rapidement lui retirant son t-shirt et commençant à déboutonner son jean, glissant mes lèvres sur le haut de sa poitrine, mordillant et suçotant sa peau jusqu’à y laisser une jolie marque puis je descends mes baisers de plus en plus bas et me redresse lui retirant son jean, l’envoyant un peu plus loin.

« Toujours aussi parfaite… »

Dis-je en glissant lentement mes mains sur ses cuisses les remontant jusqu’à sa poitrine ne m’y attardant pas, glissant une main sous son dos pour lui dégrafer son soutien-gorge et le lui enlève, ne me gênant pas pour l’observer. Ma petite femme c’est vraiment la plus belle, jamais je ne me lasserais de la redécouvrir, encore et encore, jamais je ne me lasserais de l’observer. Je glisse rapidement mes lèvres à l’un de ses seins, le mordillant, le léchant même tout en commençant à mimer l’acte, frottant mon bassin contre le sien commençant réellement à me sentir à l’étroit.




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MessageSujet: Re: What I have in me, in my mind is you. ღ katarina   What I have in me, in my mind is you.  ღ katarina EmptyJeu 27 Déc 2012 - 15:03




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Gentil n'a qu'un oeil, c'est connu et moi, j'en ai deux. J'ai beau être gentille de nature, je peux me révéler être une vraie garce. D'ailleurs, au fond, je crois que c'est ce que je suis vraiment même si je ne le montre pas forcément. Faut vraiment me pousser à l'extrème pour que je sortent mes griffes et si Lyov veut découvrir ce petit côté qu'il ne connaît pas, il n'a qu'une seule chose à faire, me blesser au plus profond de moi. J'ai souffert lors du début de notre histoire de ses mensonges, ses trahisons, ses tromperies mais surtout du fait qu'il a pu aller jusqu'à forcer une femme à coucher avec lui. Ayant moi-même été victime d'un viol, il m'a était très difficile de lui pardonner son acte. Je l'ai fuis, maudit et je lui ai pourtant pardonner car je me suis rendu compte que je l'aimais et que je ne me voyais pas finir ma vie sans lui. Je n'ai jamais réussi à aimer quelqu'un d'autre que lui, ce qui prouve la sincérité de mon amour à son égard. Cela dit, je pourrais le fuir à nouveau s'il s'avisait une nouvelle fois de me faire du mal mais la fuite ne serait pas qu'une façon de m'éloigner de lui car avant de fuir, je l'aurais moi aussi blessée, je ne sais pas comment mais je sais plus que tout que j'en suis capable. Bousiller sa voiture, lui couper les testicules et les lui offrir en guise de trophée ou encore faire en sorte qu'ils nous surprennent moi et un autre homme dans notre lit pourrait être une belle vengeance. Je dis ça mais au fond, je suis pas sur de pouvoir être capable de lui faire le moindre mal car quoi qu'il arrive, je pourrais surement jamais l'oublier. Entre nous, tout va pour le mieux et c'est le principal. On a eu une longue explication, je lui ai offert mon pardon, nous allons devenir parent et j'espère, qu'un jour je deviendrais officiellement sa femme. Abandonner son pays pour s'installer dans un autre, c'est pas si facile que ça en a l'air. Il faut réapprendre à vivre, apprendre la langue, apprendre les règles, les coutumes, s'intégrer, se faire des amis, trouver du boulot, etc ... L'anglais, c'est une belle langue mais qui reste assez difficile au fond. Avec mon lourd accent russe, j'ai parfois du mal à me faire comprendre mais heureusement, ça se fait de plus en plus rare. Lyov lui, fidèle à ses racines, ne veut pas s'en détacher.

« C'est très beau, dis pas de bêtises puis ton accent est pas pire que le mien. Tes là depuis plus longtemps que moi je te rappelle donc tu l'as moins. Ça se perd à force ... Je sais pas vraiment, je crois que ça me plait au fond d'aller à l'encontre de tes principes. »

Bien sur, je plaisante et j'espère qu'il le comprendra parce qu'on est pas là pour s'entretuer. On est là pour passer un bon moment ensemble. C'est pas tout les jours qu'on quitte plus tôt parce que je suis malencontreusement malade comme une bête à cause de ma grossesse. Étrangement, je me sens mieux que tout à l'heure et c'est surement passager comme je le dis souvent à Lyov. Il comprendra vite que c'est inutile de me faire rentrer chez nous parce que ça passe au bout d'un petit moment qui paraît être une éternité soit dit en passant. Je grimace légèrement lorsqu'il me pince la joue. J'ai l'impression d'avoir affaire à ma grand-mère lorsqu'elle me félicitait pour une chose que j'avais parfaitement réalisée.

« Ta pas intérêt, je suis enceinte, j'ai une bonne excuse pour réduire tes petites pulsions. Non, toi tu aimerais, c'est différent donc oui, c'est toi ! »

Je le sens frissonner lorsque je m'amuse avec sa lèvre inférieure. Rapidement il me réembrasse et commence à me déshabiller, me débarrassant de mon tee-shirt et déboutonnant mon jean. Je prolonge son baiser jusqu'à ce qu'il le rompe pour glisser ses lèvres dans mon cou sur lequel il laisse une petite marque. Je frissonne et me mordille la lèvre inférieure en sentant ses lèvres parcourir désormais ma poitrine et descendre progressivement jusqu'à ce qu'il se redresse pour me débarrasser de mon jean qu'il jette à travers la pièce. Je souris à ce qu'il dit et répond, cette fois-ci en russe :

« La perfection n'existe pas mais je suis prête à essayer de l'atteindre rien que pour toi. »

Je le sais parfaitement que personne n'est parfait mais pourtant, j'ai toujours cet espoir d'atteindre la perfection pour que Lyov soit davantage fier de moi. L'élasticité de mon corps se fait une nouvelle fois ressentir lorsqu'il remonte mes cuisses jusque ma poitrine avant de dégraffer mon soutien-gorge d'une main agile. Ses baisers, ses petites morsures, sa langue qui glisse contre ma peau et les mouvements de son bassin qui mime l'acte contre le mien me font davantage frissonner. Le repoussant doucement, je me redresse pour m'occuper à mon tour de lui. L'allongeant, je me glisse sur lui, à califourchon, laissant apparaître mon petit ventre arrondi et mes formes pas trop grosse mais juste assez bombée pour le plaisir des yeux de mon homme. Me penchant vers lui, je glisse mes lèvres dans son cou pour y déposer quelques baisers, descendant progressivement jusqu'à atteindre son entrejambe que je libère de ce morceau de tissu dans laquelle elle était à l'étroit. Levant les yeux vers Lyov, je souris d'un petit air coquin et y glisse mes lèvres dessus, commençant par la taquiner de ma langue avant de la prendre en bouche et d'y faire quelques petits mouvements de vas-et-viens.



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MessageSujet: Re: What I have in me, in my mind is you. ღ katarina   What I have in me, in my mind is you.  ღ katarina EmptyJeu 27 Déc 2012 - 15:59




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Je suis loin d’être le plus gros enfoiré de l’univers non, je sais qu’il y a pire mais voilà. J’ai fais des conneries je les assume même si le viol j’ai un peu du mal car j’ai tout de même fuit la Russie à cause de sa, abandonnant tout ce que j’avais et surtout mon petit frère. Je n’en suis pas fier, oh que non, si je devais retourner en arrière et effacer tout sa, je le ferais volontiers. Mais voilà, je n’ai jamais aimé lui faire du mal, Katarina c’est la seule femme que j’ai réellement aimer, à qui je tenais le plus et le jour où elle est partie je me sentais vide, j’étais perdu et je ne savais pas quoi faire puis, c’est aussi une des raisons de pourquoi j’ai quitté la Russie, c’est vrai, il ne m’arrivait que des malheurs malgré que je tenais beaucoup à mon pays, malgré qu’aujourd’hui elle me manque et j’ai quelques fois des coups de blues ou le mal du pays et c’est honnêtement pas agréable. Je suis russe et j’en suis fier, si les autres ne sont pas contents qu’ils aillent se faire voir. Je suis fier de ma langue, de mon pays et pour rien au monde je ne changerais quoique ce soit pour les américains ou pour les autres. Quand certains sont chez nous ils ne se plient pas aux coutumes ou autre, je ne verrais pas pourquoi, j’en ferais de même. Je regarde Katarina choqué. Quoi ? Je perds mon plus bel accent ?! Je me sens bizarre tout un coup. Là, c’est carrément la chose à ne pas me dire. Je n’ai pas envie de le perdre.

« Non, dis pas sa, je l’ai toujours ... »

J’arrive parfois à ne pas trouver mes mots parce qu’il y a encore des mots que je ne connais pas ou alors quand je suis énervé après un client, ça m’arrive de m’embrouiller. J’ai jamais été un as pour apprendre les langues et franchement la plus belle langue à mes yeux reste et restera toujours le russe. Je fais une petite moue face à ce qu’elle dit. Non mais vraiment, parfois elle mériterait des fessées, et pas des petites parce que vu comment elle est méchante avec moi, après on dit c’est moi le mec vraiment pas cool avec sa petite amie. Bah dis donc, je ne sais pas ce qu’il leur faut parce que moi, pas adorable avec elle…ce n’est pas possible.

« Enceinte ou pas, je fais toujours ce que je veux de toi parce que, tu vois tu es à moi. Je suis sur que ça te plairait mais tu ne veux pas me le dire pour pas que j’en abuse, avoue ! » Je lui souris amusé puis lui mordille gentiment sa joue. « Et me parle pas en anglais, c’est pas excitant du tout … »

Dis-je l’air de rien mais bien vite je lui prouve le contraire. Je suis assez contradictoire, c’est vrai mais voilà, son petit accent est sexy alors ça rattrape le tout. Franzizka a du mal à parler en anglais, bon elle sait se débrouiller mais c’est difficile, elle se plaint souvent que personne ne la comprend quand elle veut s’exprimer. D’un sens ça m’énerve un peu parce que oui, elle est comme moi, quand elle n’aime pas quelque chose elle ne fait pas d’effort mais je ne peux rien lui dire puisque moi ce que je voudrais c’est qu’elle ne mette pas le russe de côté pour l’anglais mais je me force à lui faire apprendre, apprenant avec elle en même temps. Je frissonne quand elle me parle en russe et ces mots sont réellement adorables. Elle se trompe, pour moi la perfection existe, et ma perfection c’est elle. Elle est parfaite oui, ces défauts et ces qualités font qu’elle soit la femme dont tout le monde rêve. C’est vrai, elle a un corps parfait, un sourire qui pourrait en faire tomber plus d’un, elle a un caractère qui plait malheureusement beaucoup aux hommes.

Je ne m’attendais pas à me retrouver aussi rapidement à sa place, je suis assez surpris mais, agréablement. J’ai tellement envie d’elle, j’ai tellement envie de lui sauter dessus que si ça ne tenait qu’à moi, on serait déjà entrain de passer à l’acte mais chaque chose en son temps. J’observe ses jolies formes, et son ventre légèrement arrondit la rend toute mignonne. J’aime ses formes et je les aimerais toujours. Je ne peux m’empêcher de frissonner face aux quelques baisers qu’elle me dépose dans le creux de mon cou, inclinant légèrement la tête sur le côté. Je frissonne un peu plus lorsqu’elle descend petit à petit jusqu’à mon entrejambe déjà dressé, ne pouvant m’empêcher de soupirer d’aise une fois qu’il fut libéré. Son regard en dit long, et je ne peux m’empêcher de me mordre la lèvre inférieure avant de fermer mes yeux et de basculer légèrement la tête en arrière sous l’effet que me produit sa bouche. Elle sait tellement bien le faire, elle sait tellement bien s’y prendre c’est un réel délice.

« Hm… »

Je glisse même mes doigts dans ses cheveux, les agrippant que très légèrement sans tirer dessus non plus, je ne suis pas ce genre d’homme même si j’avoue que je l’ai fais plusieurs fois mais avec ma petite femme, c’est différent, largement différent. Mais je ne tiens plus. Je fais en sorte qu’elle s’arrête puis l’allonge et lui retire le dernier tissu qu’elle porte et glisse ma tête entre ses jambes passant simplement ma langue contre son intimité et je glisse ensuite lentement ma langue en elle, entamant de rapide vas et viens tout en caressant l’intérieur de ses cuisses pour lui donner un peu plus envie.




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MessageSujet: Re: What I have in me, in my mind is you. ღ katarina   What I have in me, in my mind is you.  ღ katarina EmptyJeu 27 Déc 2012 - 17:19




sweet little words,
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Dans la vie, faut savoir faire des sacrifices, surtout en amour. Avec Lyov j'ai eu du mal mais l'amour a tout battu. Je me voyais mal sans lui et honnêtement, vu ce qu'on a vécu tout les deux, je le voyais mal sans moi aussi et j'ai eu raison car après lui avoir prouvé mon amour en plaquant ma Russie natale pour Los Angeles, j'ai mis les barres sur les T et les points sur les I avec lui, lui faisant clairement comprendre que le moindre faux pas ferait de sa vie un véritable enfer dont moi je me chargerais. Peut-être est-ce des paroles en l'air, je n'en sais rien mais une chose est sur, au fond de moi, même si je ne le lui avoue pas, je suis prête à tout lui pardonner, que ça soit ses erreurs passées ou ses erreurs futurs. Il n'y a plus que l'amour qui nous lient. Nous sommes sur le point d'avoir une véritable vie de famille et je me vois mal élever mon enfant seule sous prétexte que son papa n'a pas été à la hauteur de mes exigences. Pour moi, Lyov est l'homme parfait, avec ses défauts que j'ai su transformer en qualité et ses qualités. Je l'aime et pour lui, je suis prête à tout, même au pire. Comme quoi être amoureux fait faire pas mal de choses auxquels ont ne s'attend pas du tout. Lyov a l'air légèrement offensé en ce qui concerne ce petit accent que je vois disparaître au fil du temps. Enfin, disparaître n'est pas vraiment le mot. Je le trouve seulement moins présent, comme si le fait de devoir parler anglais lui avait ôter à jamais l'existence du russe.

« Tu l'as toujours mais de moins en moins. Fais gaffe, tu deviens un parfait petit américain, ça fait peur. »

Allez savoir pourquoi, je prend mon pied à lui mettre les boules concernant ce petit détail qui pour moi n'a aucune importance mais qui pour lui en a. Son accent, il l'aura toujours, quoi qu'on disent mais à faible densité avec le temps. Je souris amusée à ce qu'il dit même s'il a tort sur pas mal de point. Je suis loin d'être S/M même si au fond, je ne sais pas vraiment car je n'ai jamais essayé. C'est pas trop mon délire. Je préfère l'amour pur et simple même si j'avoue que j'aime quand c'est sauvage et que ça se ressent. J'aime pas les actes doux et lent. Je suis une femme après tout et je devrais rendre la majorité des hommes heureux car ce sont des animaux lorsqu'ils pratiquent, pour beaucoup.

« Je me sens soumise mais j'aime ça. Me sentir rien qu'à toi, savoir que tu peux faire ce que tu veux de moi, ça m'excite vois-tu. »

Il ne s'agit en rien de S/M, c'est juste que je suis une femme libérée avec les valeurs d'une vraie femme. Sans me laisser pour autant maltraiter ou marcher sur les pieds, je sais faire ce qu'il faut pour rendre un homme ou plutôt, mon homme heureux.

« Faut dire, j'ai jamais testé le sado-masochisme. Moi, j'aime quand c'est sauvage, le reste, je te laisserais peut-être tenter un jour si tes sage. Je sais que c'est pas sexy mais c'est si bon de te faire sortir de tes gonds, surtout quand c'est hors culture russe. »

Je suis pas méchante, juste taquine à son égard. Qui aime bien, châtie bien après tout, c'est connu. Les choses commencent à devenir intéressante. Après que Lyov ai eu quelque peu le contrôle de la chose, j'ai décidé de la prendre en main à mon tour, inversant les rôles pour que ça soit lui, qui se régale un peu. Faisant quelques vas-et-viens sur son entrejambe avec ma bouche, je fais en sorte qu'il s'en souviennent comme à chaque fois. Rien qu'à sa façon de respirer, à sentir ses doigts dans mes cheveux et ses petits gémissements me laisse imaginer que j'y parviens sans grande difficulté. Il me fait comprendre qu'il est temps d'arrêter et inverse à son tour la situation. Allongée sur le dos, il me retire le dernier morceau de tissu qui encombre mon corps et s'attaque lui aussi à la partie la plus intime de mon corps, commençant par faire glisser sa langue sur mes lèvres avant de l'introduire lentement en moi et de commencer quelques vas-et-viens qui me font frissonner de tout mon long cette fois-ci. Je m'agrippe aux draps, sentant l'excitation grimper d'un cran au fil des secondes qui s'écoulent. Le fait qu'il caresse l'intérieure de mes cuisses accentuent l'envie qui grimpent en moi.

« Hum Bébé ... »



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MessageSujet: Re: What I have in me, in my mind is you. ღ katarina   What I have in me, in my mind is you.  ღ katarina EmptyJeu 27 Déc 2012 - 19:06




sweet little words,
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Je n’aime pas le fait qu’elle me dit que je l’ai de moins en moins, oh non damnation. Il faut que j’arrête tout bonnement de parler en anglais ou même que je retourne en Russie. Je ne veux pas perdre tout sa, je ne veux pas que mon petit accent se perde pour de bon. Je n’ai pas envie de devenir un parfait petit américain. Je suis tout bonnement entrain de culpabiliser, j’ai envie de repartir en Russie. Je fais la moue, en plus si sa se trouve ce n’est pas vrai, elle me dit sa juste pour me voir entrain de me mettre dans tous mes états juste parce que je suis LE russe qui refuse de s’intégrer parmi les américains et de vivre l’american dream. Non je ne suis pas comme ça, moi si je suis là c’est parce qu’il fallait que je choisisse une destination et j’ai choisis Los Angeles. Je me vengerais pour la peine, qu’elle s’attende pas à ce que je lui fasse de cadeaux dans les heures à venir, là c’est parce que j’en ai autant envie qu’elle et que je brûle d’envie. Quelle femme, sa c’est une femme qui a tout compris à comment fonctionne un homme et à comment il faut agir avec. J’ai de la chance de l’avoir et je m’en rends compte plus au fil du temps qui passe, et je l’aime de plus en plus. Plus ça va et plus je deviens accro, plus que je ne le suis déjà…même si c’est logiquement ‘pas possible’.

J’aime aussi quand c’est sauvage, je n’aime pas quand c’est lent tout mignon et tout beau, quand c’est limite cul cul la praline, pour sa j’ai de la chance déjà d’une part d’être tombé sur une femme qui n’attend pas jusqu’au mariage pour le sexe ou même sur une femme ennuyeuse à souhait au lit. Au contraire, je prends vraiment mon pied, c’est vraiment bon et je ne m’en lasse pas. J’aime lui faire l’amour, j’aime lui faire plaisir bref, je l’aime.

« T’es pas gentille avec moi, hein. Si je n’aime pas l’anglais et tout ce qui s’en suit tu ne vas pas me forcer à aimer. Je dois être le russe le plus fermer du monde entier mais voilà, j’ai jamais voulu quitter la Russie mais comme j’ai joué au con j’ai pas eu le choix. »

Dis-je en râlant un peu, mais heureusement que les choses prennent une meilleure tournure, un peu plus et je n’aurais plus eu envie, elle a de la chance, cette petite. Elle me procure vraiment beaucoup de plaisir, beaucoup de bien. Honnêtement elle sait vraiment s’y prendre, elle est agile de sa bouche, de sa langue et elle me le prouve encore là, ce soir. Sauf que je décide de mener la danse, encore une fois. Très vite je lui retire le dernier tissu qu’il lui reste et je me glisse rapidement entre ses jambes, passant ma langue sur tout son intimité, glissant très vite ma langue en elle, caressant l’intérieur de ses cuisses et bougeant rapidement ma langue en elle avant de la retirer et de jouer avec ce qui rend toutes les femmes folles, le coinçant entre mes dents et faisant seulement jouer l’extrémité de ma langue contre puis je remonte à sa hauteur me plaçant correctement entre ses jambes, glissant à nouveau mes lèvres contre les siennes lentement tout en venant en elle entamant mes lents vas et viens, poussant un petit soupire d’aise. C’est toujours autant agréable, ça fait toujours autant de bien.

Je remonte légèrement ses jambes, les posant même sur mes épaules, déposant mes mains de part et d’autre de sa tête pour m’aider à aller de plus en plus rapidement en elle, allant aussi loin que je peux, frissonnant comme un malade, poussant des petits gémissements.

« Oh …oui … »



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MessageSujet: Re: What I have in me, in my mind is you. ღ katarina   What I have in me, in my mind is you.  ღ katarina EmptyJeu 27 Déc 2012 - 19:30




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Le voir dans tout ses états concernant le fait qu'il perd progressivement son petit accent qui ne s'éteindra jamais, c'est un fait, me met dans un état pas possible. C'est pervers mais c'est limite trop bon de pouvoir pour une fois prendre le dessus sur lui que j'en profite un peu trop. Il risque de me le faire payer cher mais je prend le risque malgré tout car je sais que ça ne va pas durer des lustres, heureusement d'ailleurs. Chaque jour il me fera endurer un truc lié à ce petit piège que je lui ai tendu sera un véritable enfer pour lui. Privé de sexe, pourquoi pas. J'ai jamais vu quelqu'un détester autant un pays qui n'est pas le sien. Tout le monde rêve des États-Unis, moi la première alors que lui, il est là parce qu'il n'a pas eu le choix. S'il déteste tant ce pays, pourquoi ne pas avoir choisi une autre destination ? Décidément, il est plein de mystère ce garçon. Côté intime, on s'entend plutôt bien lui et moi sachant qu'on aime les même choses, les même sensations et pas des trucs trop gnangnan. J'ai HORREUR de ça même !

« L'autre ... Je suis pas méchante et je te force à rien, je veux juste que tu remarques que bientôt, tu seras considéré comme un vrai américain une fois que ton accent aura carrément disparu. Mon pauvre chéri, c'est vraiment tragique. »

J'en ai presque envie d'éclater de rire mais là, ça serait signer mon arrêt de mort. Il me le ferait payer toute ma vie mais franchement, la tête qu'il tire est tellement hilarante que j'ai du mal à me contenir.

« C'est du passé tout ça ... D'un autre côté, je trouve que ta bien choisi, j'ai toujours rêvé de m'installer aux États-Unis moi. Le seul reproche que je pourrais te faire, c'est la ville. T'aurais pu choisir New-York. »

Je suis exigeante en plus alors que si mon rêve s'est réalisé, c'est en principe grâce à lui mais ça, je me le garde. De plus, Los Angeles, c'est pas si mal compte tenu que c'est une ville qui est réputée pour vivre la nuit, comme moi. Je me demande parfois si j'ai pas été croisée avec un vampire tellement j'ai l'impression d'être allergique à la lumière du jour. Je le laisse râler car si je lui fais remarquer, je risque de déclencher la troisième guerre mondiale et ce qui était censé être une plaisanterie pourrait tourner au vinaigre. Allongée sur le dos, je laisse Lyov s'occuper de moi tel un mâle dominant le ferait. Il a cette façon de s'y prendre qui me fait frissonner de tout mon long. Ses lèvres, sa langue, le fait qu'il attrape la partie la plus sensible de mon anatomie entre ses dents pour y faire jouer sa langue me fait doucement gémir de plaisir. Agrippée aux draps, je les serre entre mes mains et prolonge son baiser lorsqu'il remonte à mes lèvres. Attrapant sa langue avec la mienne, je joue avec et soupir entre deux baisers lorsqu'il finit par entrer en moi et commencer ses vas-et-viens. Mes mains glissant le long de son dos, je les laisse terminer leurs course sur ses fesses sur lesquels je presse doucement en murmurant son nom comme pour l'aider dans ses mouvements. Pour réellement l'aider, j'ondule mon corps au rythme du sien.



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MessageSujet: Re: What I have in me, in my mind is you. ღ katarina   What I have in me, in my mind is you.  ღ katarina EmptyVen 28 Déc 2012 - 15:48




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L’amérique est loin d’être mon pays favoris, au contraire je ne m’y sens pas à ma place et je ne vois pas ce qu’il y a de plus excitant que les autres pays si ce n’est que l’amérique doit être plus riche que les autres. C’est sûr, la Russie est loin d’être le pays le plus riche mais tout de même. A mes yeux le seul pays, le plus magnifique, c’est la Russie. Si je suis ici, je ne vais pas me gêner pour continuer à parler russe et à faire comme en Russie qu’importe ce que les américains pensent, moi je m’en fou, je suis là et ils me prennent comme je suis. Je raisonne certainement comme un vieux mais c’est comme ça, je suis fier d’être russe et je ne manque pas de le montrer à tout le monde. Jamais de la vie je ne voudrais être considéré comme un vrai américain, jamais je n’en serais un, jamais je ne perdrais mon bel accent non, jamais. Je soupire un peu. New York c’est carrément pire, je suis encore plus contente d’être ici à L.A qu’à NY je suis sûr que là bas je serais devenu fou et je ne me serais réellement pas adapter. J’ai clairement le mal du pays, j’ai tellement envie de rentrer chez moi, je ne m’y sens pas à ma place. Je pense qu’un jour, je retournerais en Russie avec tout le monde. J’ai laissé tout là-bas et le pire, c’est mon petit frère qui n’est pas encore là…peut-être qu’il ne veut pas partir ? Au lieu de me dire qu’il n’a pas les moyens, il peut me le dire je le comprendrais, même si j’avoue que déjà qu’on ne roulait pas sur l’or, j’espère qu’il s’en ait sorti, mais n’ayant aucune nouvelle je l’ignore.

Mais qu’importe, je respecterais de toute façon les choix de Katarina. Si elle veut parler en anglais, qu’elle le fasse, si elle veut devenir la parfaite petite américaine pas de soucis mais du temps qu’elle me demande de ne pas en faire de même, ça me va. Heureusement que notre discussion ne dure pas trop longtemps et que tout prend une tournure plus qu’intéressante et qui me plait. J’aime vraiment passer du temps comme ça avec elle, j’aime la voir dans un tel état c’est vraiment excitant, et ça me donne encore plus envie de continuer. Ce n’est pas la première fois, mais je prends toujours plaisir à la redécouvrir, encore et encore. Je me glisse en elle et n’attend pas, entamant de rapide vas et viens, prenant appuie sur mes avant bras, accélérant progressivement, faisant claquer nos deux bassins dans un bruit assez érotique. Ce bruit m’arrache un long frisson, c’est vraiment plaisant, vraiment jouissif. Je glisse mon visage dans son cou, y déposant à nouveaux de doux baisers contre sa peau, mordillant et aspirant quelques parcelles de peau entre mes dents et donne des coups de reins assez rapide, sauvage mais pas violent pour autant, je préfère tout de même faire attention à cause du bébé. Je serre les dents, c’est tellement bon, c’est tellement agréable honnêtement je suis au paradis. Je lâche de long gémissement, assez bruyant d’ailleurs, je ne me gêne pas pour faire du bruit car je m’en fiche de ce que pense les voisins, on fait ce que l’on veut on est jeune. Je la serre contre moi avant d’échanger les places, m’allongeant sur le dos, elle au dessus de moi, tout en restant en elle puis, je redresse mes jambes, dépose mes mains sur ses cuisses et recommence à bouger mes hanches la faisant en même temps sautiller sur mon sexe. Je ferme mes yeux, mes lèvres entrouvertes, ma tête légèrement en arrière. Je prends vraiment mon pied, elle me fait tellement de bien, elle me fait tellement rêver.

« Oh, ma chérie ... »

Je remonte ensuite une main en direction de sa poitrine, malaxant l'un de ses seins. Je suis en plein extase, plus ça va et plus c'est meilleur. Je me crispe, n'étant pas trop loin de l'orgasme mais je me retiens du mieux que je peux, je ne veux pas je veux encore faire durer ce plaisir, je veux encore voir son visage crispé par ce plaisir qui l'envahit.



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