Aujourd'hui, c'était la pire journée de sa vie. Son filleul venait chez lui pour passer trois jours avec lui ! Il n'avait pas envie, mais c'était bien lui le parrain de cet enfant. Son meilleur ami était venu l'apporter chez lui avec deux grandes valises. Pour un gosse de 5 ans, il voyageait déjà lourd. Des heures et des heures à essayer de ne pas le faire sauter partout, aller toucher au chien du voisin, arracher les fleurs de la voisine ou bien encore aller sauter dans les plants de tomate de mon voisin. Il est totalement insuportable se gosse. Dire qu'avant, c'était qu'un simple bambin et qu'il n'était pas du tout comme ça ! Après quelques temps d'hésitation, nous nous sommes endormit vers les quatre heures de l'après-midi sur un film. Maintenant, il était que huit heures le soir et je n'avais rien de prêt. J'ai fait livré une pizza et puis cela ne lui plaisait pas toute garnie. Mais il n'aime rien lui ? Sauf faire des gaffes ? J'étais au bout des nerfs, mais j'ai tenu le coup. Je soupirais et j'ai enlever tout ce qu'il n'aimait pas. Il a terminer avec du bacon dessus... Vous y croyez vous ? Après quelques instants, il devait aller dormir. Mais il n'a pas envie. Il veut des biscuits au chocolat ... J'ai apeller tous mes amis, mais personne n'y était. J'ai finalement décidé d'aller voir Célia.

J'ai prend la main de mon filleul et la boîte de biscuit au chocolat, je prend mes clefs de voiture. Je m'assure qu'il est bien attaché dans ma bagnole et je pars pour aller chez Célia. Quelques instants plus tard, nous étions sur le seuil de la porte en attendant que cette dernière ouvre. Au moment où elle ouvre la porte, mon filleul prend quelques biscuits en espèrant de les engloutir d'un instant à l'autre. « Non, Sam. Pas de biscuits avant d'aller dormir. » Et puis en retournant la tête vers la porte, je m'apperçu bien que Célia avait ouvert la porte et je souriais. Je l'avais peut-être dérangé. « Je suis désolé de te dérangé, même si je n'allais pas te prévenir avant d'arriver, mais j'ai besoin de ton aide. Tu vas m'aider, je te connais très bien. » Dis-je en la regardant du coin de l'oeil en observant mon filleul qui croyait que je n'allais pas le voir encore fourrer sa main dans la boîte.

Les pas des talons hauts de Célia claquait jusque derrière la porte. Sam n'avait pas du tout peur, mais il n'aimait pas entendre les talons hauts des femmes. Pourtant, c'était bien la seule chose qui nous démontrait qu'elles étaient là ! Quand Célia ouvre la porte, je n'étais plus désespéré. J'étais tout à fait heureux de la voir. Il ne veux pas dormir... Pauvre moi qui avait accepté de le garder. Pourquoi n'a-t-il pas demandé à sa soeur ? Elle aurait dit oui, elle a une garderie en plus. Il aurait aimé mieux être chez elle que chez moi. C'est un vrai petit monstre, mais je l'aime tout de même. Elle me tapota l'épaule et je soupirais en regardant le petit bonhomme qui nous regardais du haut de ses trois pommes. « Si je deviens père, j'aurais besoin de cours. » Dis-je tout en levant les yeux aux ciel. Célia nous offre d'entrée chez elle et je n'ai pas refusé ! J'entrais doucement en tenant la main du petit bonhomme qui fessait des minuscules pas dans la maison. Pour lui ... C'était totalement un monde de grand ! J'enlève ma main de dedans celle de mon filleul et Célia l'attrapa sans lui faire de mal et lui a donner un bisous sur le front. J'étais tout a fait sous le choc, il ne se débattait même pas. Normalement, il déteste avoir des bisous dans le front, sur la nuque ou bien tout simplement sur le front. Et puis quelques secondes après, il avait des gâteaux dans les mains. Je soupirais. « Sans toi ... ? Attend laisse-moi y penser deux secondes ... Je penses que j'aurais texter mon meilleur cop' pour lui demander un conseil, mais il répond pas. Donc j'aurais écouté un DVD avec lui. » Dis-je en lui souriant d'un petit air moqueur. Je prends volontier la bière et je laisse un ... « Merci. » à Célia. Je me tire une chaisse et je m'assis dessus. Je jetais un coup d'oeil à Sam qui avait déjà manger tous les petits gâteaux. Je roulais les yeux et puis je déposais ma bière sur la table pour aller le voir. « Ne mange pas si vite. Tu pourrais avoir des crampes petit coquin. » Dis-je en le prenant dans mes bras.