BLUE & JOSH ✗ « le bonheur fait le malheur des autres »

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La vie est loin d'être facile pour moi. Depuis quelques mois, je suis comme qui dirait, une sans-abri. Je suis obligée d'aller à l'encontre de mes propres principes pour survivre dans ce monde de fou. Je vole les troncs des églises alentours, je braque les épiceries du coin mais ce qu'il y a de bien pour l'instant, c'est que je ne me suis pas fait piquer. Je peux pas aller deux fois au même endroit, de ce fait, faut que je vise plus haut. J'ai récemment fait l'acquisition d'une arme à feu qui devrait me servir non seulement pour ma sécurité personnelle car je ne peux pas toujours dormir au motel, comme ce soir d'ailleurs mais aussi pour viser plus haut. J'ai dans le but de braquer une banque pour être sûre et certaine d'avoir ce qu'il faut pendant un bon petit moment. Si je me fais prendre, au moins, j'aurais un toit sur la tête et mon calvaire de femme des rues sera terminé. Quoi qu'il en soit, pensive, assise, les genoux repliés vers ma poitrine et adossée contre un mur, je surveille les alentours. J'ai toujours cette peur, lorsque je dors dehors, de m'endormir et qu'il m'arrive malheur alors, malheureusement pour moi, fermer l'oeil est un véritable combat. Mon arme entre les mains, je suis prête à la brandir, au moindre bruit suspect. Il est à peine vingt-deux heures et pour moi, la nuit risque d'être longue, comme à chaque fois.

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Blue & Josh
« Le bonheur fait le malheur des autres »

Joshua venait de sortir d'une sortie entre ami. Il marchait de la boite de nuit jusque chez lui à pied, sachant qu'il a un peu bu, s'il se fait arrêter, il sera forcer d'appeler son père qui lui rappellera les règles. Josh préfère évité ça, même s'il trouve qu'il n'est pas si bourré que ça et qu'il pouvait prendre la voiture. Mais sobre ou pas, il est arrivé en boite à pied, donc pas de voiture. Cela faisait déjà un mois qu'il avait finit ses études, il peut enfin s'éclater comme il veut, bien qu'il s'éclatait déjà à l'université, mais jamais autant. Et il n'y avait plus de stresse, ni de lendemain à se lever tôt. Déjà quelque temps qu'il marchait dans les ruelles et qu'il passa devant quelqu'un sauf que celle-ci lui braquer une arme sur lui. Est-ce un rêve? Il leva les mains en l'air, lui prouvant qu'il ne lui ferra rien. ‘Euh... Je crois que tu n'a pas envie de faire des bêtises et de tuer un inconnu dans la rue. Alors on va faire un truc : tu ne me tue pas et moi j'oublie que tu m'a braquer une arme, de toute manière je suis un peu bourré, personne ne me croirait.’ Il y avait très peu de lumière mais surement assez pour voir son visage, a la jeune femme qui lui braquer l'arme sur lui. Et d'ailleurs, elle lui faisait penser à quelqu'un, surement un erreur mais qui ne tente rien n'a rien. ‘On ne se serait pas déjà vu quelque part?’ Lui demanda-t-il toujours les mains en l'air.