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 LES LOOSER FONT LA LOI !

Interview de Quinn, par Jacob.
« Le Glee club ? C’est un truc de loser ! Je ne sais même pas pourquoi il existe celui-là. Qui voudrait entrer dans un club où l’on chante des vieux tubes en se trémoussant sur la piste de l’auditorium ? Non sérieux. On vise plus haut nous ! Tu vois, on fait partie des Cheerleader. Comment être plus populaire que d’être la copine du quaterback de l’équipe de football du lycée, et d’être la capitaine des cheerleader ? Parlons des gens qui y sont...d’ailleurs, qui y est inscrit ? »

Quinn Fabray, Capitaine des Cheerleader, ne savait pas vraiment ce qui l'attendait cette année. C’était elle qui faisait la loi au lycée. Enfin, avant elle il y avait Sue, Sue Sylvester la coach des Cheerleader. Celle-là c’était la pire femme qu’il puisse exister au lycée. Et puis, il y avait William Schuster le prof’ d’Espagnol. Mais c’est lui que le principal Figgins avait nommé à la direction du Glee club.

Speech de Will Schuster aux inscrits du Glee Club.
« Bonjour...Déjà, bienvenue à tous. Comme vous avez tous du le comprendre, le Glee Club n’est pas le club le plus populaire du lycée. Je remercie Sue Sylvester d’avoir poussé ses filles à s’inscrire pour booster le club.. Ce qui manifestement, n’a pas vraiment marché, sauf pour les quelques footeux.. Pour commencer, nous allons interpréter une chanson du groupe Journey : Don't stop believin' ! »

Et c'est comme ça que le Glee Club a démarré Bien sûr, il y a les hauts et les bas, mais bien sûr nous, tes copains du Glee Club te soutiendront quoi qu'il arrive. Que tu tombes enceinte, que tu ne saches pas te défendre contre les joueurs de foot, ou encore bien d'autres choses..

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FICHE PAR ROMANE DE TWI-ART

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We own The nIght
« never say Never»

LE CONTEXTE

Ils l’appellent l’heure fatale, ce moment, vers la mi-nuit, où tous les humains dorment, lorsque les créatures de l’ombre peuvent les entendre respirer, sentir leur sang, regarder leurs rêves se déployer. À cette heure, le monde nous appartient : nous sommes libres de chasser, de tuer, de protéger.

C’est le moment auquel j’éprouve l’envie la plus forte de boire. Pourtant, je me retiens. De cette façon, en choisissant pour seules proies des animaux dont le sang jamais ne se précipite sous l’effet du désir, dont le coeur ne palpite pas de joie, des animaux non animés de rêves, je garde mon destin en main. Je tiens à distance les forces du mal et je parviens à maîtriser mon pouvoir.

C’est pourquoi, au cours des nuits où l’odeur du sang m’assaille, sachant que, d’une seconde à l’autre, je pourrais rallier cette force à laquelle j’ai résisté si longtemps et que je continuerai de rejeter pour l’éternité, il faut que j’écrive. En rédigeant mon histoire, en voyant diverses scènes et années de ma vie s’articuler ainsi les unes par rapport aux autres, comme des perles sur une chaîne sans fin, je peux rester en contact avec l’homme que j’étais autrefois, à l’époque où seule la musique du sang battant mes tempes ou frappant ma poitrine me parvenait…

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