02h43 exactement. J'étais assise dos contre ma porte d'entrée, en larmes, et avec un jolie bleu sur le côtés droit de mon visage. Le patron de ma boite n'avais pas vraiment accepté le fait que je refuse d'aller plus loin que de simple striptease avec les clients, et il avais déboulé chez moi sans prévenir. Yoan n'avais pas été présent, et heureusement d'ailleurs. Carlos, mon patron, m'avais frapper au visage. C'étais un homme véritablement violent, et moi comme toutes les autres filles, le craignons pour cela. J'avais eu très peur, tellement que j'en tremblais surement encore. Mon premier reflex, après son départ, fut d'attraper le téléphone. Mais pour appeler qui ? La police ? Il ne prendrais jamais au sérieux une stripteaseuse. Yoan ? Hors de question. Voila pourquoi ma main composa naturellement le numéro de l'une des personnes les plus importantes pour moi. Blake, Blake étais comme un grand frère pour moi. Et je savais qu'il n'y avais que lui qui pouvais me réconforté dans des moments pareilles. De plus, j'étais vraiment effrayer, j'avais peur que Carlos ne reviennent. « Blake .. Tu peux passer sil te plait .. Non .. Maintenant .. » Avais-je réussie a dire difficilement, entres les larmes, ma voix enroué, et mes mains tremblantes. Quelques minutes plus tard, on sonna a la porte, et ce fut après quelques secondes, que je m'approcha doucement de la porte, afin d'ouvrir doucement cette dernière. Priant intérieurement pour que ce soit bel et bien Blake ..

Quelques minutes seulement après mon coup de téléphone, j'entendis le moteur de sa voiture arriver en trombe devant la maison. Je vérifia tout de même en ouvrant doucement la porte si c'étais bien lui. Et par chance oui, voila pourquoi je le laissa entrée. Je ne devais surement pas être très belle a voir. Le cotés droit de mon visage étais très atteint, et puis je n'avais cesser de pleuré, mon maquillage avais sans doutes du couler, et j'étais simplement en boxer et débardeur quand Carlos avais débarquer, alors je n'avais pas vraiment eu le réflexe, ni le temps de m'habiller correctement. Quand Blake entra, il pris soin de fermer la porte a clefs derrière lui. Et de suite, il me demanda ce qui c'étais passer. J'ouvris la bouche, pour lui expliquer, mais je n'en eu pas la force. Je me contenta alors de m'avancer vers lui, et de me blottir dans ses bras. Les larmes commencèrent de nouveau a me submergé, a tel point que je ne pus vraiment pas prononcer un seul mot. Ma tête poser contre son torse, là je me sentais vraiment en sécurité. En fait, je croit qu'il n'y avais vraiment qu'en sa présence que je me sentais véritablement en sécurité. Il avais toujours pris soin de moi, comme un grand frère, il étais toujours présent. Je ne voulais donc en aucuns cas, qu'il se frotte a mon patron, car il étais un homme d'affaire très puissant en ville, le club ou je travaillais n'étais pas son seul bien dans le milieu des "femmes" comme il l'appelais. « Je suis désolée .. » Finis-je par dire doucement, tête baisser. « Je ne savais pas qui d'autres appeler .. » Lui avouais-je ensuite. Je savais que je l'avais sans doutes déranger, Blake travaillais en majorité la nuit. Mais je ne savais pas bien pourquoi, ni ce qu'il faisait. Evidemment, je me doutais qu'il n'y avais rien de légale dans ses "affaires" mais il avais toujours refuser de me dire dans quoi exactement il baignais. Malgré mes quelques tentatives pour le découvrir, j'avais fini par lâcher prise. Il me le cachais surement pour me protéger, il faisait toujours ça. « Il voulais .. Il voulais que je me .. "donne" a ses gars .. » Dis-je d'une voix a peine audible, et citant ses propres mots, a tel point j'étais écoeuré de ce que Carlos m'avais demander de faire. Blake ne comprenais sans doutes pas tout. Mais j'étais tellement apeuré, tellement perturbé que je n'arrivais pas vraiment a sortir de ma bouche des phrases complète, et logiques. J'étais encore sous le choc. J'avais vraiment crut qu'il allais me tuer, vue la violence qu'il avais mis dans ses actes. Même si je me déshabillais chaque soirs devant des inconnues, je m'étais toujours refusé à me prostitué. Ca je ne pouvais pas, et je croit que je ne pourrais jamais. Après ce qui m'étais arriver en Espagne, j'avais beaucoup de mal avec les garçons. Du moins, tout aller bien, jusqu'a ce que les choses ne deviennent trop intimes. La je me bloquais, j'avais sans cesse les flash de cette nuit la qui me revenais en mémoire. La nuit ou j'avais subit ce viol .. Je croit que je ne m'en remettrais jamais vraiment, et ce qui c'étais passer ce soir n'allais pas arranger ma vision des choses face au hommes en générale.

Je lui demande ce qui s'est passé, mais elle ne me dit rien, je pense plutôt qu'elle n'a pas encore la force de le faire, ou alors a-t-elle peur que je dise quelque chose car en effet, quand on s'en prend à ceux que j'aime on risquerait de vraiment le regretter. Je la prends contre moi, enroulant mes bras autour de son corps quand elle se blottit contre moi, je lui frotte son dos pour la réconforter, la laissant pleurer à sa guise, comme elle le souhaite. Je secoue la tête quand elle s'excuse.Tu n'as pas à t'excuser tu sais.. Et puis si sa se trouve, elle m'a évité de me faire prendre par le camp ennemi. Je lui essuie le maquillage qui a dégouliné sur sa joue de mes doigts, histoire que sa ne s'étale pas un peu plus sur son beau visage. Peut-être qu'un jour je lui dirais ce qui se passe, peut-être qu'un jour je lui dirais ce que je fais et où je travaille mais je ne veux pas la mettre en danger, pas maintenant, je pense qu'elle a assez de problèmes comme ça,ne voulant pas ajouter les miens. Elle finie par m'expliquer ce qui se passe, je fronce les sourcils pas vraiment content puis je serre les dents, je pense que je saurais marchander avec lui, du moins je l'espère et il a bien intérêt à vouloir sinon je m'occupe de son cas.J'irais lui parler, à ton gros connard de patron.Dis-je assez méchamment, très énerver oui, remonter même, j'ai beaucoup de respect pour les femmes, j'en ai toujours eu malgré que je joue avec, disons que si elles ne veulent pas je ne suis pas du genre à faire du forcing ou à me mettre à les frapper, c'est comme ça, on ne frappe pas ce que Dieu a crée pour nous détruire, nous les hommes. Je caresse ses longs cheveux blonds et soyeux avant de me lever puis je file dans sa salle de bain, fouillant un peu histoire de voir ce qu'elle a, je sors une crème que j'appliquerais plus tard puis je redescends prenant un petit chiffon puis je met trois glaçons et je rassemble les quatre coins ensemble avant de revenir, je le lui donne pour qu'elle le pose simplement sur ses ématomes au visage puis je m'installe sur le canapé, me craquant les doigts.Calme-toi, et après tu me raconteras toute l'histoire ..

Apeuré. J'étais complètement apeuré. J'avais toujours critiquer ce genre de filles, celles qui se laissait faire par les hommes. Celles qui ne savaient que pleuré, alors qu'elles auraient du rétorquer. Et aujourd'hui, face a la violence de mon boss, j'n'avais même pas eu, ni le courage, ni le réflexe de me défendre. En même temps, je ne pense pas que j'aurais eu la loi. Mais bon, le fait est que j'aurais tout de même du essayer. Au lieu de le laisser me frapper, sans broncher. Blottis contre Blake, je me sentais enfin en sécurité. Il avais toujours su me protéger, il étais toujours présent, quoi qu'il arrive, et dans un sens, cela me réconfortais. Je m'excusais alors de l'avoir sans doutes déranger. Même si je ne savais pas encore, au jour d'aujourd'hui ce qu'il magouillais le soir. Blake me dit ensuite qu'il irais parler a Carlos, je releva immédiatement mon visage vers le sien. « Non, je veux pas qu'il t'arrive quelque chose .. » Dis-je doucement. Après cela, il se leva, et alla chercher le nécessaire afin de me "soigner". Il m'apporta ensuite de la glace, et me la tendis. Je la pris alors, et la tenais plaquer contre mes bleus. Blake s'installa sur le sofa, tandis que moi je m'adossa au mur de la cuisine. Il me dit de me calmer, et qu'ensuite je lui raconterais tout. J'hocha simplement la tête, tout en restant silencieuse. Je voyais a sa manière d'agir, a sa manière de parler, qu'il étais prêt a exploser. En même temps, il étais comme mon grand frère, alors je savais que Blake me considérais comme sa petite soeur, et je savais combien il étais protecteur envers ses proches. Je ne voulais en aucuns cas qu'il se mêle de cette histoire, mais appart lui, je n'avais personnes d'autres a appeler ce soir. Après quelques minutes durant les qu'elles je repris le contrôle de moi même, je garda le silence. Puis je fini par lui demander, pour changer de sujet, et également pour me sortir cet instant de la tête : « T'étais où ..? » Je le vis relever la tête en ma direction, alors je le regarda également et ajouta : « Quand je t'ai appeler .. Tu étais où ? »

Après ce qui c'étais passer, et une fois que j'avais repris le contrôle de moi même je n'avais qu'une envie, changer de sujet. Voila pourquoi, l'endroit d'ou venais Blake me vint a l'esprit, je lui demanda alors ou il étais. Sachant pertinemment qu'il serais quelque peu réticent a me le dire. Il avais toujours voulue me "protéger" en ne me parlant jamais de ce qu'il faisait. Je me doutais qu'il trempais dans des trucs illégales, mais je ne savais pas quoi au juste. Comme il me le demanda, j'alla m'installer a ses cotés sur le sofa, tout en le regardant. Il fini par tourné la tête en ma direction, et la, il me déballa toute l'histoire. Du moins, ce qu'il avais fait ce soir avant de venir ici. Bien sur, je connaissait sa passion pour les voitures et la course. Mais je pensait que c'étais comme pour tout les mecs, un passe temps. La, je comprenais que c'étais beaucoup plus que ça a ses yeux. « Je vois .. » Dis-je alors simplement. Je savais par les "on dit" que ce milieu la, celui des rodéos, étais très violent. Voila pourquoi je demanda doucement, un peut effrayer de sa réponse. « Et si tu te fait choppé dans un garage, il se passe quoi ? » Après m'avoir avouer cela, Blake me regarda avec un petit sourire, me demandant si je savais conduire, et si je voulais faire un tour. Malgré ma surprise sur ce qu'il venais de m'annoncer, je souris légèrement a ce qu'il dit. « Je sait conduire oui. Et ça me ferais plaisir d'essayer ton bolide. » Lui répondis-je alors. Certes il étais constamment en train de choyer sa caisse. Mais comme je l'ai dit, pour moi c'étais quelque chose que les gars faisait constamment. Quelque chose de naturelle chez eux. Je ne pensait pas que les courses, et les voitures étais une passion pour lui.

Je ne peux pas lui cacher cela éternellement, même si c'est assez simple pour moi de mentir mais à elle c'est différent, je n'aime pas vraiment lui mentir, je sais à quel point ça fait mal, et puis je n'ai jamais voulu lui faire du mal à elle, déjà qu'elle en subit assez de la part des autres, et je veux être le dernier à la décevoir. Elle me pose une question, je n'ai pas très envie d'y répondre, on ne sait jamais de toute façon, soit l'on tombe sur des rivaux assez sympa, soit pas du tout mais en général, je suis assez discret et rapide pour m'enfuir, sachant également où me cacher, au bon endroit, au bon moment.Hm, tout dépend de la personne sur qui l'on tombe, mais en général, je me fais fracasser la gueule, rien de bien grave.Oui, rien de bien grave car, quand on me frappe je riposte et comme je suis assez baraqué, ce ne sont que des petits bobos qui m'arrivent, rien de bien méchant même si le mec ou la nana en face de moi frappe comme un/une bourrin(e) mais bref, ce n'est plus la le sujet. Je lui demande si elle sait conduire et si, elle veut conduire ma merveille, elle accepte et évidemment cela ne m'étonne pas et puis, je ne demande pas à n'importe qui de la conduire à ma place, c'est mon petit bijou, c'est ma femme, mon seul et unique amour de ma vie de toute manière. Je sais bien que je ne devrais pas mais, en même temps c'est la seule qui me donne des poussées d'adrénaline. Je me lève lui souriant avant de la regarder de haut en bas.Je t'attends dehors, je pense pas que te promener en petite culotte serait convenable. Je lui dépose un baisé sur sa joue avant de sortir de la maison, autant la faire penser à autre chose, si cela peut l'aider.

Je lui avais alors demander, après sa révélation. Ce qui se passait si il se faisait chopé dans un des garages concurrent. Sa réponse, qui étais comme naturelle pour lui me fit rire légèrement, nerveusement. « Rien de bien grave. » Répétais-je sur un ton ironique. Je ne prenais pas vraiment toutes ses bagarres, toute cette violence a la légère moi, contrairement a lui. Tout comme il étais protecteur avec moi, je m'inquiétais beaucoup pour lui. Certes je savais parfaitement qu'il savais ce défendre, et qu'il n'aurais pas de mal a réduire le premier venue en miette. Mais il n'empêche qu'on est jamais protéger de tout, et ce que j'avais envie en dernier, c'étais de perdre, ou de voir arriver quelque chose a Blake. Il me proposa par la suite, pour un peut détendre l'atmosphère, et également changer de sujet de faire un tour dans sa bagnole, comment refusé ? Cette voiture étais vraiment très belle. En même temps, Blake passait la plupart de son temps dessus, il étais assez perfectionniste a ce sujet. Il me sourit alors, avant de se lever et de me suggéré d'enfilé quelque chose, au lieu de me baladé en petite culotte. Il est vrai que j'avais un peu oublié mon "look" avec ce qui c'étais passer ce soir. Je ris doucement a sa remarque. « Très bonne suggestion. » Lui fis-je remarquer, avant de monter a l'étage, enfilé un jean's et une petite veste en cuir. Je mis ensuite une paire de basket's, plus pratique pour conduire que des talons. Puis je rejoignis Blake a l'extérieur de la maison, laissant au passage un message a Yoan sur la petite commode de l'entrée. « On y va ? » Lui demandais-je en souriant légèrement, une fois la porte de la maison fermé.

Je n'aime pas le petit ton ironique qu'elle a prit, elle sait très bien que je suis assez grand, assez mature et costaud pour savoir me débrouiller seul. Oui certes, il suffit d'une fois, mais je m'en fiche pas mal. Je lui dis que je l'attends dehors, et qu'il vaut mieux qu'elle pense à se changer avant de sortir, je n'ai pas envie qu'elle s'attire des ennuis, encore plus que d'habitude surtout si je suis juste à côté d'elle, je risquerais de frapper dans le tas à entendre ces mecs manquer de respect. J'observe à un moment ma voiture, pensif, un peu trop certainement puis j'entends des bruits de pas, je lui fais face avant de hocher la tête et je lui donne les clefs, la regardant quelques secondes, silencieux puis je finis par déclarer Ne l'abîme pas trop, je tiens à ma caisse. J'ouvre la porte côté passager avant d'y entrer et de refermer la porte, m'attachant - sait on jamais même si d'habitude j'y vais sans - puis je tourne la tête vers la jeune blonde souriant un peu Fais pas gaffe aux boutons rouges sur le volant, ça me sert juste à moi pour avoir un peu plus de vitesse, tu n'en auras pas besoin, pas ce soir. Un jour si tu le veux, je t'emmènerais à ces rodéos, pour que tu vois un peu mon monde. Je connais déjà le sien, enfin, je fréquentais des femmes comme ça, je sais comment cela se déroule mais c'est tout. Je réfléchis à un endroit où l'on pourrait aller, j'ai bien envie d'aller voir son patron et lui dire ses quatre vérités, mais on doit changer de sujet, je dois lui changer les idées. On va faire un petit tour à la plage ? Ou comme bon te semble, c'est toi qui conduit.