Morphé « L'homme aux yeux vairons »

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❝ Cheshire Morphé Betray ❞

curriculum vitae

NOM:		PRENOM(S):
ÂGE		DATE DE NAISSANCE:
LIEU DE NAISSANCE:		ORIGINES:
ORIENTATION SEXUELLE:		JOB:
AVATAR:		GROUPE:

physique

C'est dur de se décrire physiquement, mais je pense savoir le faire, avec le minimum de ligne. Au niveau du corps je suis ni trop maigre, ni trop gros. Je ne suis pas quelqu'un qui aime se prendre la tête et pourtant, je ne veux pas ressembler à monsieur tout le monde, je ne suis pas un mouton qui suit le mouvement de mode, ou autre, moi. Peu importe qu'on se moque de la manière dont je m'habille, j'aime ce qui est large, je m'habille toujours en tee-shirt XXL et en baggy dans lesquels on pourrait en rentrer deux comme moi, et alors ? Si je suis bien comme ça, je ne vois pas pourquoi je me préoccuperais de savoir si ça dérange les gens, ou pas. Mon style, on l'associe souvent à un type rappeur américain ou autre. Qu'est-ce qu'ils racontent ? Mon style raconte ma personnalité, c'est tout, j'aime être imprévisible, j'aime qu'on se retourne sur mon chemin pour me dévisager. Ils me trouvent bizarres ? Mais s'ils savaient comme ils sont pathétiques, eux, à tous se ressembler. Pour ce qui est de mes yeux, ils sont très particulier, l'un est brun, noisette et l'autre du mélange entre du brun, bleu et vert même voir gris, c'est très spécial, mais j'aime ma différence par rapport aux autres. Je suis quelqu'un qui prend aussi soin de son corps, qui fait beaucoup d'abdominaux pour avoir de beaux muscles, des belles tablettes et un beau V. Les poils ? Ahpff, je n'aime pas sa, pas du tout, j'en ai quelqu'un au bas ventre mais c'est tout.

caractère

Niveau caractère, je suis très dur à suivre, mais on va dire qu'en bref, je suis un mec qui profite pleinement de la vie, sexe, drogue & rock'n'roll, la devise de plusieurs jeunes, c'est aussi la mienne. Le sexe, une fois que l'on y goûte, nous en sommes totalement accroc, c'est mon cas et surtout, si l'on goûte et l'on touche à tout. Les femmes, les hommes tout me plait, tout me convient, soumis ou pas. La drogue ? Ah ...une grande histoire, ma meilleure amie on va dire. Je trouvais sa ridicule auparavant, les gens qui se droguent, mais au final, je ne suis pas mieux, depuis la mort de ma mère j'ai pété les plombs, je n'ai plus toute ma tête tout est déréglé.

Je fais le mec dur, mais au fond je suis un gars déchiré, par la mort de ma mère, l'abandon que j'ai ressenti et la haine que j'éprouve à l'égard de ma sœur. Je l'aime oui, mais à force de vouloir faire trop, elle m'étouffe. Je suis maladroit, certes mais quand j'aime je le montre et à ma façon, et quand je le peux, quand j'ose je le montre un peu plus, comme la personne le veut.

Je suis très protecteur, je ne le montre pas non plus de près, je surveille juste de loin, et j'agis de manière à ce que la personne ne le remarque pas, du moins pas tout de suite. Je suis très très...très gourmand, même en ce qui ne concerne pas la nourriture, j'aime savoir plein de chose sur la personne, il suffit d'être très observateur et manipulateur, après, c'est dans la poche.

et toi, derrière ton écran !

▬ PRÉNOM/PSEUDO: Angel Daren Victory

▬ ÂGE: 17 ans

▬ TA PRÉSENCE SUR LE RPG : 4/7

▬ COMMENT AS-TU CONNU LE FORUM?: J'y étais déjà, il fut un temps.

▬ COMMENT LE TROUVES-TU?: Beau.

▬ PV OU INVENTE?: Inventé de toute pièce !

▬ DOUBLES COMPTES? : Nope

▬ FORMULAIRE D'AVATAR REMPLI?: V'oui !

▬ CODE? :

▬ UN DERNIER MOT POUR LA FIN? : J'aime les sushis !

Dernière édition par C. Morphé Betray le Sam 17 Sep 2011 - 14:39, édité 11 fois

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« Selon le sage Salomon, sagesse n'entre dans une âme mauvaise, que science sans conscience n'est que ruine de l'âme, il te faut servir, aimer et craindre Dieu, et mettre en lui toutes tes pensées, et tout ton espoir et, par une foi orientée par la charité, lui être uni au point que tu n'en sois jamais séparé par le péché. » F. Rabelais , Gargantua.

« Dis maman, pourquoi papa, il est parti ? »

Je descends lentement les escaliers, mes doigts sur la rampe, aperçevant pour le moment les chaussures de ma mère, qui me dit qu'elle est assise sur le canapé. Des sanglots, des sanglots qui en disent long, tellement fort, qu'on peut entendre, ou même ressentir une tristesse, la tristesse d'un amour perdu mais vous savez, à cet âge là, j'ignorais ce que voulait dire ces sanglots. Je m'approche d'elle, la voyant pleurer à chaude larme, ce n'est pas la première fois qu'elle pleure comme ça. Je prends place à ses côtés, regardant le sol.

- Ne t'en fait pas maman, papa, il reviendra.

Chose que ma mère me disait toujours, mais elle secoua négativement la tête, que dois-je en conclure ? Qu'il nous a abandonné ? Pour un petit garçon de six ans, j'en comprenais déjà bien, des choses et ma mère, personne ne la rassurait ma mère, personne ne la consolait, moi j'étais là, un petit gamin de six ans, qui s'occupait de sa mère qui se laissait mourir, juste à cause d'un premier amour perdu, qui ne reviendra probablement jamais. Je n'étais pas vraiment blessé, ni même surpris juste déçu et brisé, un père qui ne m'a certainement jamais aimé, qui ne m'a jamais dit et montré qu'il m'aimait. Ma mère ne m'avait pas dit, le pourquoi de son départ, du moins elle disait que j'étais trop jeune. Chaque jour ..je me demandais, est-ce qu'il reviendrait un jour ?

« On a tous une raison de vivre, si un jour notre raison de vivre part la vie ne vaut pas ou plus la peine d'être vécue
» Tom K.

Un beau-père, qui dit beau-père si petit frère ou petite sœur mais pas du tout, j'ai un grand frère que mes parents m'avaient caché, sauf que l'on a 3 ans de différence, à trois ans mes parents vivaient mal, très mal et n'avaient pas de quoi nourrir cet enfant, résultat ? Ils l'ont mit confié à ma grand mère, maintenant aujourd'hui elle ne fait plus partie de ce monde, et aujourd'hui il a vingt quatre ans, aujourd'hui nous nous sommes rencontrés et on ne s'entend pas à merveille. Jaloux de moi. Je descends prendre mon petit déjeuné, évitant de croiser le regard de mon beau-père que je n'ai jamais pu blairé malgré qu'il a essayé de venir vers moi, je m'en souviens encore de ses coups, quand il me jetait contre le mur quand je n'étais pas sage, c'était comme si j'étais son chien, comme si je n'étais qu'un vulgaire objet à ses yeux. Je prends place puis je ne fais attention à personne, j'entends mon frère descendre, je me lève rapidement et je termine mon petit déjeuné dans le salon, quand je vous dis qu'il y a une tension, ce n'est pas pour rien. Il me suivit du regard ce moquant de moi et s'installa aussi.

- Je me demande ce qu'il fait encore là, ce blaireau. Il ne branle déjà rien, tu sais maman tu devrais le bouger un peu.

Je n'y prête pas attention, du moins je l'essaye mais il est toujours et encore blessant. Ils ne s'étonnent pas pourquoi je me renferme sur moi même, que je vis dans un monde complètement opposé, complètement inventé de toute pièce fait par moi. Je croque difficilement dans ma céréale avant de baisser mes yeux, j'ai envie de m'enfiler un bon gros spif mais ils sont là, et je dois me préparer oui je pense que je vais faire sa. Je file mettre mon bol au lave vaisselle puis je monte prendre une douche mais il me fait refermer vite la porte de la salle de bain, je serre les dents et je me retourne.

-Toi, fiche moi la paix.

Il ria puis il me mit dans la salle de bain, prit la clef et m'enferma. Je frappe comme un fou contre la porte, je la tambourine mais personne ne viens m'ouvrir. Je lâche un long soupire, désesperer avant de finalement prendre ma douche, habillé rien qu'avec un jogging et un boxer en dessous. Maman, je veux te retrouver, je veux retrouver celle qui me défendait, celle qui m'aimait et pas celle qui se soumet et qui fait comme si de rien n'était, pour moi celle d'avant est morte, je sais, qu'elle ne reviendra jamais.

« Mélancolie, par la porte opposée elle voit sa folie ,qu'elle va jeter plus loin de toi » M. Farmer

Aujourd'hui, rien n'a changé, c'est juste que je suis encore plus dépendant de la drogue, en total soumission de celle-ci. Je ne travaille pas, j'ai arrêté très tôt mes études ne pouvant aller parfois en cours à cause des marques que m'infligeait mon frère. Je vis seul dans les quartiers pauvres de L.A, j'ai déménagé aussi ici, il y a maintenant plus de trois ans avec mon meilleur ami que j'ai perdu de vu suite à une énorme prise de tête. Je n'ai plus de nouvelles de ma mère ou de mon beau-père mais par contre mon grand frère ne se gêne pas lui pour me rappeler qu'il existe bien malheureusement. Ma mère m'envoie de l'argent le temps que j'essaye de trouver un boulot stable et que j'arrive à finir les fins du mois.