Story

Je m'appelle Darcyleinn. Prénom peu commun je vous l'accorde, mais ma mère a toujours aimée les détails qui sortaient de l'ordinaire, je ne peux malheureusement pas dire la même chose de sa vie. Elle vivait la même que beaucoup de femmes désespérées de trouver l'amour. Après que mon père soit parti pour sa secrétaire et par haine envers la mère de sa fille, elle s'est complètement laissée aller. Elle vendrait son corps la nuit sur les trottoirs de la ville, c'était une très belle femme qui se faisait beaucoup d'argent. Bien que je n'ai jamais aimer ce métier, je ne pouvais pas me plaindre, elle me nourrissait, me fournissait un toit et malgré ses nombreuses conquêtes qui étaient présentes chaque matins, l'appartement n'était pas le plus délabré qui puisse exister. Mon enfance a été bercé par les cris de jouissance de ma génitrice et les coups qu'il lui arrivait de me porter quand elle avait de l'alcool dans le sang, en me reprochant de lui rappeler mon père. Ma mère était dépendante des substances illicites, cocaïne, marijuana, shit.. Tout y passait sans exception. Elle me disait que ça l'aidait à surmonter ses problèmes. Problème qu'elle se mettait elle-même à dos. A l'âge de dix ans, après de nombreuses crises de folie venant de moi, on m'a diagnostiquée une schizophrénie légère. Le médecin m'a dit qu'elle mettra du temps à se développer entièrement et que plus j'avancerais dans le temps, plus la maladie se développera. Pour calmer le jeu, il m'a prescrit des médicaments qui me faisaient dormir ou quand je ne dormais pas, j'étais dans les vapes. Beaucoup d'hommes présents dans l'appartement en ont profité. Ils venaient la nuit dans ma chambre, et se soulageaient une nouvelle fois, soit disant parce que ma mère était impossible à réveiller et qu'ils en avaient envie. Je ne pouvais pas réagir donc ils continuaient jusqu'à la fin. Jusqu'à la jouissance, parfois ils n'étaient pas protégés, j'ai envie de vomir en repensant à ça. Je n'étais qu'une gosse mais j'étais déjà souillée.

Un jour, j'ai décidé d'en parler à ma mère, elle savait que quelque chose n'allait pas. Je ne mangeais plus, ne prenait plus mes médicaments, il m'arrivait de frapper les hommes qu'elle ramenait à la maison quand ils s'approchaient trop de moi, je ne dormais plus non plus et je ne réagissais plus à rien. J'ai commencé à entendre une voix, elle me guidait, elle me disait de me défendre, de ne pas me laisser faire. Un matin, alors qu'un des clients de ma mère s'approcha de moi avec un air douteux, j'ai pris un couteau et je l'ai planté. Il a vite été à l'hopital et moi j'ai finis internée. Je suis restée en hôpital psychiatrique jusqu'à mes quinze ans. Quand je suis sortie, ma mère m'a laissé quelques semaines de repos et m'a annoncée cash que je devais travailler avec elle. Je suis devenue une prostituée. Chaque soir, j'étais payée pour coucher avec des hommes en manque, non satisfait de leur femme ou tout simplement, des hommes qui voulaient savoir ce que ça fait que de coucher avec une pute. Ne mâchons pas les mots, c'est ce que j'étais. Une simple pute. Je n'ai pas envie de parler de cette période là. Donc passons à mes dix huit ans, année où je suis partie de Russie pour venir vivre à Los Angeles. Je n'avais rien, alors j'ai du trouver un travail. Un soir, alors que je travaillais dans un simple bar, un homme m'a donné une carte, me disant que j'avais le bon physique. Je suis allée voir à l'adresse et j'ai vu que c'était une boite de striptease. Hors de question. Mais si j'acceptais, j'étais bien payer et loger. Alors depuis deux ans maintenant je fais ce métier. Je danse nue devant les gens, couche parfois avec eux. Et tout ça, juste pour de l'argent qui me sert en parti à payer mes soins.