Raconte nous l'histoire de ton personnage (8 lignes minimum) :
Millions. Luxe. Espèce de môme pourri gâté.

Passer des lignes à vous conter mon enfance ne servirait à rien et en plus, tout le monde s’en balance, moi le premier. J’vais vous faire un résumé. Mon père fait parti du ministère de France, avec à la clé, des tunes innombrables et des femmes à en faire bander le Pape. Philippe Meaunolay. Profondément respecté en se faisant passer pour l’homme canon prêt à se sacrifier corps et âme pour venir en aide à son pays, il n’en restait pas moins qu’un allumeur dépravé. Il avait toutes les plus belles femmes à ses pieds, ainsi que portes ouvertes à de nombreuses maisons closes. Mais ce fut après avoir séjourné deux mois à Londres qu’il rencontra ma mère. Courtney Preston. Brune aux regards flamboyants, lèvres pulpeuses et jambes à n’en plus finir. Cependant, elle ne s’intéressait pas à lui et c’est ce qui plut à mon père qui n’avait pas pour habitude qu’on lui résiste. Et cet imbécile s’en est amouraché, alors qu’il aurait pu continuer sa vie de libertin. Après de nombreux jeux de séductions et deux années à jouer au chat et à la souris, ma mère accepta de venir vivre en France avec lui. Elle quitta sa famille et son job de rédactrice en chef dans un magasine de mode renommé. Arrivée en France, elle comptait jouer de son monstrueux carnet de relations mondial pour se dégoter la meilleure place dans le meilleur des magasins français mais mon père le lui interdit. Il disait qu’il gagnait bien suffisamment d’argent pour deux, pas besoin que sa femme s’affiche face aux médias pour aller travailler. Macho en plus de ça. Les premiers temps ma mère se rebella, y a pas qu’au lit que c’était une tigresse. Mais les mois passèrent, et elle finit par abandonner. Au fond, elle avait tout ce qu’elle voulait, l’argent ne manquait pas, autant profiter. Et alors qu’elle commençait à apprécier sa nouvelle vie, un incident survint … Moi.
7 février 1990, le petit Ashton Ethan Preston/Meaunolay est né, je suis né. Avec ma grand-mère puant la bourgeoisie à des kilomètres j’ai bien faillit écoper d’un nom ignoble à la français du style : Jean Charles Meaunolay. Heureusement, ma mère la déteste. Et avec ma venue au monde, l’indomptable Courtney reprit du service. Contre l’avis de mon père, elle reprit un travail et ce dernier en profita pour se venger, ramenant toute les salxpes du coin à la maison, avec mes pauvres yeux et oreilles innocents en guise de témoin. La guerre était déclaré entre mes parents, mais cela ne les empêchaient pas de s’aimer. Passion destructrice. Je n’ai jamais bien compris leur système. Mis à part les déboires de mon père, j’ai eut une enfance plutôt calme et douce, aux côtés d’une nounou plus présente que mes parents. A cette époque, j’étais un ange. Puis, il y a eut … la chose.
23 septembre 1992, la petite Katherina Faith Preston/Meaunolay est née, ma sœur. Ma détestable et exécrable petite sœur. Kath me dérobe vite le statut de ‘ chouchou ‘ de la famille. Et d’ange je passai à démon. Capricieux et caractériel je révélai ma véritable nature, ce qui étrangement eut un déclic sur ma mère qui s’intéressa soudainement de plus près à moi. Je redevenais peu à peu le préféré, jusqu’à ce que ma mère meurt d’une soit disant chute dans les escaliers. Mon père ne la supportait plus depuis la naissance de Kath, et ce n’était un secret pour personne, comme ce n’est un secret pour personne que ce soit lui son assassin. Mais tout le monde se tut et laissa courir la thèse de l’accident… Sauf moi. Du haut de mes 16 ans je parvins à faire enfermer mon père derrière les barreaux. Charismatique et fin stratège le petit. A partir de là, à moi la belle vie de débauche en tout genre.

De l’argent à en devenir dingue, une maison de pacha, des relations avec les plus grands, il y a de quoi me détester et m’idolâtrer. Je vis au jour le jour, qu’importe ce qui se passera demain. Chaque soir dans les clubs les plus huppés de la capitale, chaque soir à rentrer déchirer, chaque soir avec une nouvelle gonzesse dans mon pieu. La belle vie. Mais il reste une ombre au tableau … Katharina. La sublime garce. Je ne peux le nier, ma sœur est d’une beauté déroutante et insolente. Et si les donzelles crient mon nom dans la rue, celle qui me convoite le plus n’est personne d’autre qu’elle. Si bien que j’ai fini par me la faire. Deux fois. Malsain à souhait, mais dieu qu’elle est bonne au pieu. C’est le seul moment où on arrive à s’entendre.
Mais sérieusement … On se fait chier à Paris. Les filles sont toutes les mêmes, les clubs se ressemblent tous. Alors du coup j’ai pris mon téléphone et appelé June, la pucelle déjantée. Je ne vous ai pas parlé d’elle ? Laissez-moi le faire. Une nuit en boite, comme à mon habitude, dansant particulièrement subjectivement avec une demoiselle en chaleur, mon regard (ah tiens je ne vous ais pas parlé de lui non plus. Totalement hypnotisant, d’un bleu profond rappelant l’océan et son esprit tumultueux. Un véritable atout ce truc là.) tomba sur une allumée au bar, déchirée et parlant plus fort que la musique tambourinant nos oreilles. Amusé, j’ai abandonné mon plan du soir sur la piste pour rejoindre l’inconnue. Elle m’insulta dans un premier temps de tous les noms qui lui passait par la tête, m’avouant à quel point elle pouvait me détester sans même me connaitre. Et puis magie, un verre à la main, elle leva son verra en s’exclamant : « A moi, la vierge de service. » De plus en plus intéressant. La saisissant par les hanches, je l’ai emmené dehors. La plaquant contre le mur, parcourant sa nuque de mes lèvres j’ai fini par simplement lui murmure mon numéro, qu’elle pouvait m’appeler si elle voulait jouer. Depuis, on se cherche sans réellement se trouver mais bon dieu June, je t’aurais dans mon lit. Petite parenthèse close, c’est donc elle que je décidé d’appeler pour qu’elle me file son bon plan du moment. Los Angeles. D’après elle c’est l’éclate la plus totale. Décidé, je lui ordonne de me garder une chambre dans sa piole et ni une ni deux, jet privé direction le paradis.
Décris nous son physique et son caractère (4 lignes)
Avant, j'étais un gars relativement calme, un peu têtu, mais rien de bien méchant. Mais depuis la mort de ma mère, j'ai rencontré de nouvelles personnes qui ont fait que j'ai changé. Aujourd'hui, je sais que mon entourage me voit comme un mec infréquentable, qui ne pense qu'à se faire des minettes, sortir, séduir, etc... Oui, ils n'ont pas tord, j'aime la présence féminine et je m'emporte très vite, mais lorsque j'accroche avec une personne, ce qui est rare, je suis très drôle et très attentionné avec elle. J'avoue que je devrais quelque peu modifier mon caractère car j'accumules les bagarres et les prises de têtes. Aussi, j'ai pris le décès de ma mère comme excuse, mais au fond, je suis juste complètement paumé, je ne sais pas quoi faire, quoi dire, j'ai l'impression de ne rien gérer si je suis moi même, donc, je profite de la gente féminine et je hurle pour m'exprimer, et c'est ainsi que je crois me sentir mieux. Mais sachez le, au fond, je suis un bon gars, apprenez à me connaitre et vous le saurez par vous même.


A t-il une particularité ? (si oui, laquelle)
Il possède quelques tatouages sur son corp, à vous de les découvrir après.. *o*

MDP : okByEv'

Célébrité : Alex Pettyfer

Scénario : Nop

Formulaire : Oui

Groupe : Bourge

Prénom : J.
Age : 14
Référence : Forumactif ^^
Présence : 4-5/7
Double compte : Non q:
Remarques : Nada.

Nom : Preston.
Prénom(s) : Ashton Ethan.
Age : vingt-et-un.
Lieu de naissance : Paris
Origine(s) : Anglaises et françaises.
Statut : Célibataire.
Orientation : Hétérosexuel